1. L'échappée belle (One shot)


    Datte: 23/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    - Tu ne retrouveras jamais ta liberté, tu sais, dit mon Maître en verrouillant la porte. Et tu sais quoi ? Tu ne le voudras jamais. Parce qu’au fond de toi tu es juste une petite salope qui attend qu’on lui dicte sa conduite et qu’on la baise par tous les trous. Je baissais humblement la tête. Je faisais pitié : agenouillée, cul nu, vêtue d’un simple T-shirt qui ne couvrait rien, bâillonnée et enchaînée par la taille à un anneau dans le mur, les mains menottées dans le dos pour ne pas me toucher sans l’autorisation de mon maître. Il s’agenouilla devant moi et me caressa les cheveux en m’observant. Je mouillais déjà ; je savais qu’il était en train de réfléchir à la manière dont il allait abuser de moi et m’humilier ce soir pour encore mieux me rabaisser comme l’esclave que j’étais devenue. Il me détacha de ma chaîne et me libéra les mains. Je le suivis à quatre pattes comme un petit chien ; il m’avait retiré le droit d’utiliser le mobilier comme les chaises, les tables et les lits, et le droit de me tenir debout. Je devais donc me déplacer à quatre pattes, pour son plus grand plaisir d’observer mon petit cul dénudé. Il m’avait laissé trois heures à la maison entravée, le temps d’aller retrouver des amis. Il aimait sortir et me laisser tout à mes pensées, toujours impures bien sûr, pour mieux m’écouter les raconter. Je passais une soirée à ses pieds, sa main caressant mes cheveux ou claquant mes fesses par moment. J’étais terriblement en chien, j’avais tellement envie qu’il ...
    ... me baise, ce qu’il me refusait depuis bientôt trois jours. Je dû me contenter de sucer sa bite en imaginant celle-ci s’empaler en moi et me faire grimper aux rideaux. Ce fut une soirée calme, nous arrivions au bout de ma punition. Nous ne fîmes rien d’extraordinaire les jours qui suivirent, lui se contentant de vérifier que je remplissais bien mes tâches quotidiennes, et moi me tenant à carreau pour profiter de cette accalmie. Mais il me suffisait de l’observer pour savoir qu’il préparait quelque chose, un projet qu’il murissait avec attention dans sa tête. Je redoutais le moment où il mettrait son plan certainement diabolique à exécution, et en même temps l’attendais avec impatience. Je me laissais porter par de doux fantasmes le soir quand il m’attachait nue aux barreaux du lit avant de s’endormir à mes côtés, droit comme un i, indifférent à mes charmes. Un jour au travail j’ouvris mon sac à main et glissèrent de mon agenda une paire de menottes. Elles tombèrent sur le sol dans un cliquetis métallique qui intrigua ma collège de bureau. Elles étaient heureusement tombées hors de sa vue et je prétextais avoir fait tomber mes clefs, tout en sentant le rouge me monter aux joues. Mon ange, Avait-il écrit dans mon agenda à la date du jour, ce soir tu vas rester tard au travail ; je veux que tu sois d’une assiduité exemplaire, je vérifierais ! Vers 20h30 tout le monde devrait être parti. Je veux alors que tu te rendes dans le parking, que tu te déshabilles dans l’allée – pas cachée ...
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