L'échappée belle (One shot)
Datte: 23/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... expérience. La voiture continuait de rouler. Je n’avais plus aucune notion du temps qui passait. La voiture fit quelques virages, mais rien qui puisse me renseigner précisément sur la destination. Nous quittâmes bientôt l’asphalte pour rejoindre une route de campagne. A même le plancher du coffre, c’était infernal, je rebondissais durement et j’absorbais tous les chocs. Enfin, la voiture se gara. La portière claqua. Les pas résonnèrent sur ce qui ressemblait à du gravier. Le bruit du coffre qu’on ouvre, et la brise froide du soir. J’étais tétanisée. La personne qui avait ouvert le coffre resta longuement plantée devant moi. Aveuglée, je n’avais pas la moindre idée de ce qu’il était en train de faire. Soudain, des mains gantées me tirèrent vers lui. Je poussais un cri de terreur. L’inconnu me tira jusqu’au bord du coffre. J’entendis un cliquetis puis un bruit d’étoffe. Il dégrafait sa ceinture et baissait son pantalon ! Soudain je sentis contre mes lèvres un phallus durci. Je serrai la mâchoire, refusant cette intrusion, mais une main se posa brutalement sur ma nuque, empoignant mes cheveux, tandis que l’autre pinça les joues pour forcer ma mâchoire à s’ouvrir. Je fus forcée d’accueillir le pénis en bouche. La main était si implacable dans ma nuque que je m’appliquais à bien sucer, craignant d’être brutalisée si je ne le satisfaisais pas. Dans quelle galère m’étais-je fourrée ? A quel moment les choses avaient elles dérapées ? Les larmes aux yeux, je repensais au moment où ...
... j’avais refermé les menottes sur mes poignets. Avais-je scellé mon destin à cet instant ? Ou bien était-ce quand je m’étais officiellement soumise à mon Maître, signant son contrat ? Ou bien quand je lui avais écrit pour la première fois ? J’étais à bout de souffle. Le bruit de ma salive clapotant autour de ce pénis étranger soudain me répugna, alors que j’étais devenue accoutumée de la fellation. A quelles autres sévices m’exposais-je encore ? Qui était cette personne ? Est-ce que mon Maître savait où me chercher ? - Pitié, suppliais-je quand l’étranger retira sa bite de ma bouche. Je vous en prie, laissez-moi partir… - Pas avant que tu m’ai fait jouir, salope, dit-une voix étouffée. Il m’attrapa par les pieds et me fit pivoter. Les hanches surélevées sur le bord du coffre, les jambes à l’extérieur de la voiture, mon dos reposant douloureusement sur mes mains menottées, la position était franchement tendue. Je sentais mon intimité exposée à l’air libre, le vent frais caresser mes cuisses dénudées. L’étranger me caressa le ventre et remonta vers mes seins. Un sanglot m’échappa. Ne me contrôlant plus, je ruai brutalement, frappant sans voir. Mon pied rencontra ce qui devait être son ventre ou son entrejambe. Je l’entendis lâcher un « oooow » et tituber sur le gravier. Je me démenais pour me sortir du coffre et pris mes jambes à mon cou. A l’aveugle, je n’avais pas la moindre idée de là où j’allai. Mes pieds dérapèrent et s’abimèrent sur le gravier, puis je sentis sous mes pieds ...