1. L'échappée belle (One shot)


    Datte: 23/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... dans ta voiture ! – et que tu t’enfermes dans le coffre en laissant tes clés cachées derrière la roue avant droite. Tu te banderas les yeux avec ton foulard et tu te menotteras les mains dans le dos. Et c’était tout. Pas d’information de plus sur le programme de la soirée ni de précision sur le temps qu’il comptait me laisser dans le coffre. J’étais déjà trempée. Il avait choisi mes vêtements du jour, une jupe crayon jusqu’aux genoux et un top moulant, en oubliant volontairement la culotte bien entendue. Le haut de mes cuisses collait et je sentais l’odeur caractéristique de l’excitation monter. J’essayais de me concentrer mais mes pensées dérivaient sans cesse vers la soirée à venir. Il me sembla qu’une éternité passa avant 20h30. A l’heure dite, je me levais en tremblant, et parcouru les couloirs déserts. Je croisais le personnel de ménage que je saluais d’un geste de la tête, accélérant le pas pour qu’ils ne puissent pas voir la rougeur de mon visage. Au parking, il me fallut bien dix minutes pour me décider à sortir de ma voiture pour me dénuder. J’appréhendai le retour inopiné d’un collègue qui aurait oublié des clés ou un dossier, ou bien le passage de la sécurité. Je tremblais comme une feuille en baissant ma jupe et peinais à dégrafer mon soutien-gorge. Je pliais mes affaires et les déposais sur le siège passager. Soudain mon sang se glaça. J’entendais des pas venant dans ma direction ! Je me précipitais sur mon sac, attrapais mes menottes et mon foulard, déposais ...
    ... les clés à l’endroit indiqué et me précipitais dans le coffre. Je n’eu pas le temps de voir si quelqu’un s’était suffisamment approché pour me voir. Dans l’obscurité du coffre, je me bandais les yeux puis me menottais à l’aveuglette. Il ne m’avait même pas donné les clés par sécurité… ses jeux devenaient de plus en plus dangereux. Le temps s’étira à l’infini. Il ne faisait pas chaud dans le coffre, et les sons filtraient mal. Je cru cent fois entendre des pas approcher, que je guettais, le cœur battant à tout rompre, mais fus à chaque fois déçue. J’aurai voulu m’endormir, mais j’étais trop excitée par ce que je vivais. Je n’avais aucun moyen de soulager mon sexe gonflé d’excitation, était forcée de rester couchée en chien de fusil du fait de l’exiguïté du coffre. Je me contentais de presser mes cuisses l’une contre l’autre, exerçant une légère pression sur ma chatte. Soudain la portière claqua. Je n’avais même pas entendu la personne arriver ! La voiture démarra sur les chapeaux de roue et manœuvra avec habilité. Nous passâmes rapidement deux barres de ralentissement qui m’envoyèrent buter contre les parois du coffre. Le fait que le conducteur n’ait pas checké le contenu du coffre m’inquiétait. Et si ce n’était pas lui ? Et si c’était un voleur ? Que me ferait-il s’il me trouvait ainsi offerte dans le coffre ? En proie à la panique la plus totale, je tentais vainement d’échapper à mes menotte ; en vain, elles étaient trop solides, et le bandeau, trop bien noué du fait de mon ...