Notre première "fantaisie"
Datte: 23/05/2021,
Catégories:
fhh,
hbi,
couplus,
inconnu,
campagne,
Masturbation
intermast,
Oral
... mais je voyais ses deux mains solidement agrippées sur les fesses de Jérémy et qui guidaient son bassin d’avant en arrière, il n’y avait aucun doute sur ce qu’elle était en train de faire. J’étais maintenant debout à côté de lui, ses mains étaient sur les épaules de Jakie qui, les yeux fermés, une expression d’intense satisfaction sur le visage, continuait à guider ce membre charnu entre ses lèvres. Son sexe était d’une taille comparable au mien, un peu plus long mais moins épais, peut-être. Déjà, à ce moment, je pris conscience que je le détaillais avec une curiosité mêlée de plaisir. C’était la première fois que je voyais d’aussi près un sexe d’homme en action, qui plus est dans la bouche de ma femme et je ne me lassais pas de le voir glisser, entrer, sortir, luisant de salive et une fois de plus, je me sentis troublé. Jakie me tira de mes songes en posant une main sur la bosse de mon pantalon. — Toi aussi, tu veux en profiter ? Allez approche-toi ! Dans la même tenue, nous étions tous les deux face à elle, profitant chacun notre tour de ses caresses buccales. Tandis qu’elle suçait l’un, elle branlait doucement l’autre. On aurait dit une actrice professionnelle. Parfois, elle réunissait nos glands pour les avaler tous les deux. Le contact du sexe de Jeremy sur le mien m’électrisait. Je sentis encore une fois se préciser un autre moment important. Elle avait les cuisses largement écartées et maintenant, l’une de ses mains avait disparu sous le jogging : elle se branlait ...
... elle aussi. Je m’assis à côté d’elle et ma main remplaça la sienne. Elle était trempée et ne fit qu’écarter encore plus les jambes quand un de mes doigts, ayant trouvé un chemin sous l’élastique de sa culotte, s’introduisit sans efforts dans son sexe, lui arrachant un petit cri que je connaissais bien. Elle s’arrêta un instant de le sucer et m’agrippa par le cou pour m’embrasser. Gluant de salive, son baiser était plein de profondeur et de fougue. Je crus discerner un léger goût salé, comme celui qu’elle avait quand elle m’embrassait, fière de m’avoir fait jouir en me suçant ; mais ce goût-là n’était pas le mien. Je crois que c’est ce qui déclencha la suite. Elle reprit sa fellation, j’étais à peine à trente centimètres de la scène et je distinguai l’odeur du mâle. Avec le même aplomb qu’il avait eu avec nous, je lui demandai : — Ça t’embête, si je l’aide ? Il eut une fois de plus un large sourire. — Du moment que je ne suis pas obligé de faire pareil. Et il se tourna légèrement vers moi, m’offrant sa verge tendue qui se balançait devant mon visage. — Régale-toi, montre comment tu suces. Avec une étonnante assurance, je pris son sexe, et tout en commençant un lent va-et-vient, j’approchai mon visage de sa queue. J’étais comme enivré par son odeur. Doucement, je posai ma bouche sur son gland. Je le savais, c’était doux, lisse, tendu et souple à la fois. J’approchai ma bouche et son sexe tout entier entra en moi. Je savourai chaque millimètre de chair que je sentais glisser entre ...