Me voilà dans un BTS coiffure (2) - Histoires de Sexe

Me voilà dans un BTS coiffure (2)

Salut c’est votre folle de lycra Nous étions donc dans la petite ville de Luigny, à attendre la mère de Coralie, pour qu’elle voie ce qu’elle allait faire avec le problème de voiture de ma chérie. Ce qui me faisait le plus paniquer, c’est que j’allais rencontrer pour la première fois sa mère à cette occasion. A vrai dire, j’aurais préféré d’autres circonstances. Vu la taille du village, manifestement très orienté agriculture, nous en fîmes le tour rapidement, mais il nous restait au moins une heure trente à attendre. Malgré un soleil très généreux, il ne faisait pas chaud, ce qui nous condamnait à marcher pour ne pas être saisis par le froid. Au niveau de l’église, une rue de l’étang a attiré notre attention, nous avons pris cette direction pour le plaisir. En général, autour d’un étang, il y a de la vie ; c’est ce que nous recherchions. C’est dans une sorte de bosquet excentré du village que nous avons fini par trouver notre étang, il était bordé de peuplier, le cadre était vraiment très sympa. Nous entendions les oiseaux dans les arbres, apparemment, il n’y avait que des pigeons ou tourterelles. A la moindre occasion, Coralie se collait à moi, cela avait la fâcheuse tendance à m’entretenir une érection, malgré la fraîcheur extérieure. Au bout de cet étang, y avait un banc, Coralie toujours entreprenante, m’avait calé dessus et avec une de ses jambes elle me faisait écarter les miennes. J’adorais son côté directive et maintenant mon érection était monstrueuse, je mourais ...

... d’envie de la prendre sur ce banc. Malheureusement il n’en fut rien, Coralie se limitait à me saisir et me caresser le sexe à travers mon pantalon. De temps à autre, elle prenait même l’initiative de glisser sa main à l’intérieur, mais avec la fraîcheur de cette dernière, mon sexe était refroidi immédiatement dans son excitation. Maintenant, il lui arrivait même de venir me caresser le ventre, toujours avec sa main froide. Le problème, c’est qu’à force de passer sa main à l’intérieur, elle était complètement en train de me déshabiller. Il n’y a pas à dire, pendant les vacances ses cousines l’avaient sacrément dévergondée, en même temps pour moi ce n’était pas trop grave, c’était tout bénéfice. Pendant que le soleil se levait, Coralie entretenait mon excitation, et nous n’avons pas vu le temps passer. C’est ainsi que Coralie a reçu un SMS de sa mère, l’informant qu’elle était arrivée dans le village, elle avait trouvé la voiture, mais qu’elle ne nous trouvait pas. — Maman nous ne sommes pas loin nous sommes à côté d’un petit étang qui se trouve au bout de la rue de l’étang. — Tu prends la direction de Moulhard sur la départementale 30 et nous sommes sur la droite à cinq cents mètres du village. En entendant ce que Coralie dictait comme SMS à sa mère, j’en ai conclu qu’il fallait que je me dépêche de me refaire présentable. D’autant que sa mère allait sans doute arriver en voiture. Cela n’a pas manqué, deux minutes après, j’entendais une voiture s’approcher et ralentir au niveau ...