1. Me voilà dans un BTS coiffure (2)


    Datte: 24/05/2021, Catégories: Transexuels

    ... de l’entrée du petit parc. J’ai entendu la porte s’ouvrir puis se refermer et enfin j’ai aperçu une personne arriver, c’était une grande et belle femme tout comme sa fille. Quand elle est arrivée à notre hauteur, j’ai cru tomber par terre, car j’ai reconnu notre directrice des études. Je réalisai que je sortais avec la fille d’une responsable de l’école, et surtout que je venais de la déranger à se taper une heure et demie de route pour venir nous dépanner. — On se connaît il me semble. — Vous êtes élève dans notre école de coiffure. Que voulez-vous que je réponde à ça, cela était évident, heureusement Coralie a pris le relais. — Maman je te présente Franck, c’est un copain de classe, et je sors avec lui depuis quelque temps. — À vrai dire, tu n’es pas venue ici pour que je te présente mon chéri. — Sur l’autoroute la voiture s’est mise à ne plus avoir de puissance et nous l’avons quittée, en roulant à quinze kilomètres-heure avec des feux de détresse. Apparemment les rapports étaient relativement tendus entre la mère et la fille, mais en même temps j’ai l’impression qu’il y avait aussi du respect de la fille envers la mère. À ma grande surprise la maman de Coralie s’est avérée très arrangeante. — Je vous propose de joindre l’assureur, qu’il me paye le taxi retour, et que vous preniez ma voiture pour le week-end. J’étais vraiment touché par ce geste et ma chérie aussi, je ne savais pas quoi dire, j’aurais voulu la remercier, mais les mots me manquaient. Quand l’assureur a ...
    ... rappelé, tout était OK, nous avons pris tout notre temps pour retrouver notre sacré numéro à l’église. En attendant le taxi nous avons continué à nous promener un peu dans le village, il n’y avait pas beaucoup d’activité, excepté les voitures qui ne faisaient que passer. La plupart des voitures qui traversaient le village sortaient de l’autoroute ou s’y rendaient. Dans les champs, il n’y avait pour ainsi dire plus d’activité, ils avaient été moissonnés et la terre avait été retournée ; bref ils étaient prêts à passer l’hiver. Caroline est allée voir un commerçant, pour lui donner les clés de la voiture en panne, en leur expliquant que quelqu’un viendrait les chercher. Le taxi n’a pas été bien long à venir, et pour la première fois, j’ai eu l’occasion de faire la bise à notre directrice des études. Au fond de moi, je me disais que cette femme, bien que de l’âge de mes parents, était vraiment belle, bien conservée et fort désirable. Nous avons laissé partir le taxi en saluant de loin Caroline, cela me faisait tout drôle d’ainsi changer de voiture pour continuer notre escapade. De la firme au Lion nous sommes passés à la firme aux anneaux, c’était vraiment très sympa de la part de la mère de Coralie. En même temps nous ne désirions pas aller bien plus loin. Nous avons fait encore une trentaine de kilomètres plein sud, notre escapade reprenait des couleurs sympas. Nous sommes arrivés à Cloye sur le Loir, un village très sympa au milieu de nulle part traversé par la rivière le Loir. ...
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