1. Me voilà dans un BTS coiffure (2)


    Datte: 24/05/2021, Catégories: Transexuels

    ... En arrivant dans le village nous sommes tombés sur une superbe maison de retraite, vraiment très belle pour la taille du village. En avançant alors que nous étions sur le point de passer au-dessus d’un petit pont enjambant une petite rivière, nous avons vu un petit parking sur la gauche où nous avons décidé de faire une petite pause. Je ne sais pas ce qui nous a attirés au bout de ce parking mais il y avait un petit pont qui enjambait une rivière bien plus grande. Là nous sommes tombés sur un superbe parc arboré avec un petit kiosque, le cadre était vraiment très sympa et très bien aménagé pour les piétons. À nous promener au bord de l’eau nous avions l’impression d’être dans un petit coin de paradis. À ce moment-là, Coralie a trouvé un arbre qui penchait fortement dans l’eau, elle m’a pris par la main pour que nous nous asseyions dessus. Une fois de plus c’est elle qui était en train de prendre en main les opérations, je m’en suis rendu compte quand elle m’a fait agenouiller devant elle. Quand elle a retiré sa culotte bien goûteuse et a commencé à m’en barbouiller le visage, j’ai compris qu’il allait falloir que je descende à la cave. C’était bien loin d’être une corvée pour moi, mais surtout un plaisir car cela allait être la première fois pour moi que j’allais manger un minou. En fait, j’étais on ne peut plus inexpérimenté, mais à force de lire des histoires sur des sites, mon expérience théorique était immense. Jusqu’à maintenant je connaissais le goût et l’odeur grâce à ...
    ... la culotte de ma chérie, mais là j’allais avoir affaire à la source originelle de ce nectar. Voilà comment ce matin-là je me suis retrouvé entre les jambes de ma belle en pleine nature avec pour seuls bruits celui de la rivière, des oiseaux et du vent dans les feuillages. Les jambes de Coralie étaient gainées de bas satinés autofixants, ce qui leur donnait une douceur formidable. Il faisait frais dehors, mais sous la jupe longue de ma chérie, il faisait chaud et bon. Ma langue était à quelques centimètres de sa toison pubienne et j’avais une énorme érection. Si je m’étais écouté, Coralie je l’aurais pénétrée là, sur ce tronc d’arbre, mais il n’en était pas question. C’était la première fois que je faisais du bien à quelqu’un avec ma langue, à voir la façon dont Coralie me tenait la tête, il n’y a pas de doute elle savait ce qu’elle voulait. Elle me maintenait fermement le visage enfoui entre ses jambes, moi je me délectais à lui faire du bien. C’était vraiment impressionnant de pouvoir donner tant de sensations à quelqu’un, juste en lui léchant l’entrejambe. Maintenant Coralie soupirait très fort, elle ne se privait pas de pousser de petits cris, elle savait que nous étions en pleine nature. Le risque était que nous nous fassions surprendre par des promeneurs, manifestement cela ne dissuadait pas ma belle. Maintenant ma langue allait de son vagin jusqu’à son clito et il n’y avait pas un seul endroit insensible. Coralie se mettait à pousser des cris de plus en plus forts, je ...
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