Le journal des Glénants
Datte: 26/05/2021,
Catégories:
fh,
couplus,
vacances,
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amour,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
pénétratio,
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initiatiq,
Comme à chacun de nos retours des Glénants, Flavie est assise sur le siège du train en face de moi. Elle écrit, lève parfois la tête pour regarder, sans le voir probablement, le paysage qui défile. Il faudrait être poète pour décrire Flavie et pour dire la violence des sentiments que fait naître en moi sa vue ou simplement son évocation. Je ne suis pas poète mais, tant pis, je me lance.Les genoux d’abord, dénudés, offerts tout près de moi à ma vue et à celle des autres voyageurs par la robe légèrement remontée sur ses jambes. Ronds et déliés, et qui dévoilent une peau éclatante de lumière, un rose voilé d’or que n’ont pas assombri les journées au grand air sur les voiliers de la base. Flavie a le don pour se vêtir de robes ou de jupes et chemisiers qui vont à ravir avec son teint et la couleur de ses yeux : un bleu gris changeant avec le temps et son humeur et qui, parfois, laissent éclater des paillettes d’or.Un vrai livre ouvert sur ses pensées que ses yeux ! Elle a découvert chez sa grand-mère une malle qui reste son trésor secret d’où elle tire les habits qu’elle ajuste à son personnage. Parmi tous les noirs, les gris, les marrons, les violets que nous voyons marcher autour de nous, elle est comme un rayon qui passe. Elle a coupé relativement court ses cheveux châtains parsemés de mèches blondes. Flavie n’est pas frileuse, il faut vraiment qu’il fasse froid pour qu’elle admette de porter un pantalon. Aux Glénants, au mois de juillet ou parfois en juin, elle est ...
... presque toujours en maillot de bain ou en short avec de petits chemisiers de dentelle blanche, ornés d’une petite broche de couleur vive, jamais la même.Flavie a des seins minuscules, très haut placés sur sa poitrine, qu’on devine à peine sous ses hauts ajustés et parfois presque transparents. De grands amis pour moi ! que je sollicite souvent pour lui donner du plaisir et qui s’érigent de petites pointes roses que l’on devine sous le tissu lorsqu’elle est émue, par exemple par mon regard comme c’est le cas actuellement ; à moins que ce ne soit de la faute des phrases qu’elle jette sur ce petit carnet qu’elle m’offrira à notre arrivée.Depuis cinq ans, nous passons régulièrement un mois aux Glénants et elle a écrit une sorte de journal qu’elle me remettra à notre arrivée. Nous y sommes allés pour la première fois juste après notre mariage vers lequel nous nous étions élancés dans l’urgence de vivre ensemble, de ne dépendre que de nous deux, plus encore que du besoin de faire l’amour. Flavie avait dix-huit ans. Elle était encore vierge de toute pénétration.La voile en mer, cela nous connaît, en tous cas en Méditerranée. Nous habitons Toulon. L’expérience de l’Atlantique nous a enthousiasmés. Pendant ce premier séjour, j’ai contemplé Flavie pour la première fois au milieu des autres, garçons et filles, surtout garçons, fascinés par son allant, sa fantaisie, sa désinvolture et, il faut le dire, sa beauté si excitante. J’ai ressenti un plaisir inavouable à la voir évoluer. Journal de ...