Le journal des Glénants
Datte: 26/05/2021,
Catégories:
fh,
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amour,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
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... deuxième séjour : Dans le train, tu étais assis à côté de moi et tu entourais mes épaules, faisant retomber négligemment ta main sur mon sein qui n’en pouvait plus de durcir. De nouveau nous avons convenu dans la joie et l’excitation de nous présenter toujours comme des amis sans toutefois cacher notre liaison, personne ne s’y serait trompé. Puis je t’ai parlé de notre anniversaire de mariage qui arriverait dans quelques jours. Et ta réponse a dû précéder ta pensée, mais ce fut dit ! Je me rappelle qu’à ce moment j’ai revu dans un éclair Flavie évoluant l’an dernier parmi les garçons qui l’entouraient et j’ai voulu plus encore. Comment expliquer ce désir soudain ? Je ne sais. — C’est notre premier anniversaire de mariage, as-tu dit, et je veux t’offrir la vie de jeune fille, celle que tu m’as offerte avant même de l’avoir vécue. Mon cadeau à moi sera de te regarder et d’être ton confident, quoi que tu fasses. Laisse-toi aller à tes instincts. Agis avec les autres un peu comme si je n’avais pas existé. Ce qui n’est évidemment pas tout à fait possible, m’as-tu dit en riant, imagine que je ne suis qu’un amant parmi d’autres, ou mieux, un ex. J’étais effarée, non par ta proposition elle-même (de mâle un peu exhibitionniste qui joue avec le danger) que je pouvais toujours refuser mais par le constat que ta proposition reproduisait exactement mes pensées en cet instant. Étions-nous à ce point accordés ? J’en fus tellement émue que je me suis retournée vers toi et que je t’ai ...
... embrassé. Traîtreusement tu as serré le bout de mon sein entre deux doigts et j’ai joui silencieusement. Ce n’est qu’après être calmée que j’ai vu les regards des autres voyageurs et j’ai rougi, pendant que toi, tu prenais l’air le plus naturel possible comme si c’était tout naturel de faire jouir sa femme en public. Tu as pris mon geste pour un accord mais c’était plus que cela : un élan, un enthousiasme. Je me sentais si forte. Je serais une jeune fille indépendante, sans complexe et je serais une tentation pour les autres puisque c’est cela que tu voulais, mais je savais que je te resterais fidèle. Et pourtant ! Pendant huit jours j’ai joué ce jeu, me brûlant aux regards des autres, à leurs attouchements furtifs. Et tu me regardais. Et nous n’avons pas fait l’amour. Jusqu’à ce jour de grosse mer. Pierre barrait et nous étions quatre membres d’équipage. Nous allions négocier un virement de bord lorsqu’une lame m’a envoyée bouler contre le barreur et j’ai lâché l’écoute que j’étais censée tenir. Pierre a pris la barre de sa main gauche. De son bras droit il a enserré ma taille et sa main s’est infiltrée sous ma veste de sauvetage que je portais à même la peau. Et il le savait. Lorsqu’il a serré le bout de mon sein, je me suis revue dans le train avec toi et j’ai poussé un petit cri de surprise et surtout de plaisir. Les autres se sont retournés. Pierre a pris tranquillement son temps pour me dire : — Toi, quand je t’attraperai, je te ferai l’amour, je t’enculerai comme un garçon. ...