Le journal des Glénants
Datte: 26/05/2021,
Catégories:
fh,
couplus,
vacances,
plage,
amour,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
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initiatiq,
... Flavie, premier séjour : Marc, ces feuillets te sont destinés, car tu ne dois rien ignorer de moi. Nous étions à peine mariés. J’avais tant envie de vivre notre vie, de fonder avec toi un foyer sans les autres, de conduire ensemble toutes nos actions. Te rappelles-tu notre premier séjour aux Glénants. Par jeu, nous avions convenu d’apparaître non comme des époux, mais simplement comme des amis dans ce milieu où nous ne connaissions personne. D’ailleurs, étions-nous vraiment mariés ? D’autres diraient que « nous n’avions pas consommé ». C’était de ma faute, mon corps n’était pas prêt et tu l’as compris. Alors tu y es allé très précautionneusement, m’apprenant à connaître mon corps à l’aimer, à l’admirer car il est beau mon corps, lu dans tes yeux. Ce sont mes seins qui, sous tes effleurements, m’ont donné mes premières émotions. Tu n’étais pas vraiment innocent, il y avait du mâle en toi lorsque tu m’as demandé de les dévoiler à la plage. Devant nos copains du centre je n’arrivais jamais à réprimer le durcissement de leur pointe, si fort qu’il faisait disparaître les aréoles. Je voyais bien que les filles faisaient l’amour avec les garçons et eux, ils me jetaient des regards non d’amour mais de désir pur, immédiat. Parfois j’en tremblais de désir. Finalement, sans que tu le saches, ce sont les autres qui m’ont offerte à toi sans restriction. Rappelle-toi ! De retour à Toulon après le stage, j’étais encore vierge mais je te voulais dans moi, férocement. À peine avions-nous ...
... déposé nos bagages que nous sommes descendus dans la crique de nos amours. Le soir était doux, personne sur la grève apparemment. Tu as étendu notre grande serviette, tu m’as dénudée entièrement, j’ai frissonné d’émotion, on a nagé un instant. Sentant ma propre impatience, tu m’as allongée sur le dos, tu as écarté mes jambes tu as pris mes seins dans tes mains et ta bouche est venue se poser sur mon sexe. J’ai fermé les yeux et, une seconde ou une heure plus tard, je ne sais, je t’ai senti dans moi. J’ai crié longuement sous la surprise du plaisir qui m’a assaillie. Quand j’ai ouvert les yeux, tu étais toujours dans moi te mouvant lentement, très lentement. J’ai aperçu dans un éclair des gens sur le sentier des douaniers juste au-dessus de nous mais cela m’importait peu que l’on nous voie. Ma jouissance se prolongeait, tu étais sur moi et tes yeux, eux aussi, me faisaient l’amour. Tu as tenu longtemps dans moi à me faire gémir avant de t’épancher, m’arrachant un nouveau cri de surprise tant la sensation était forte. Tu t’es couché à côté de moi, je crois que tu as remis ton maillot à moins que tu ne l’aies jamais enlevé et tu m’as caressée longuement pour apaiser mes spasmes. J’ai aimé, Marc, ta force comme j’ai aimé ta délicatesse après l’amour. Depuis, nous avons vécu une année de bonheur indicible. Tu m’as prise plusieurs fois chaque jour et bien que tu n’aies pénétré que mon vagin, chaque jour était différent. Puis nous sommes repartis pour les Glénants. Journal de Flavie, ...