Le journal des Glénants - Histoires de Sexe

Le journal des Glénants

... les bouts de mes seins entre pouce et majeur et en a caressé la pointe de ses index. J’ai littéralement explosé et, tétanisée de plaisir, je me suis abaissée brusquement sur son sexe que j’ai senti s’introduire en moi. Une douleur fulgurante puis un apaisement, je lui ai souri. Il m’a dit : — Bravo Flavie ! Tu es la première fille, et le premier garçon, que j’encule sans avoir préparé son anus avec mes doigts et ma langue. Tu es merveilleuse. Ne bouge plus, que ton anus s’habitue à ma présence. Laisse-toi aller, ferme tes yeux, tu peux même t’endormir. Oh mon Marc, ai-je pensé, voilà que je suis maintenant une fille qui a connu la sodomie, mais pas par toi, l’as-tu vraiment voulu ? Je ne suis plus tout à fait celle que tu as connue, je suis une sodomite, j’ai été engarçonnée par un autre garçon que toi et j’en ai du plaisir, du plaisir, du plai… Et je crois bien que je me suis endormie comme Pierre semblait le désirer. Pas longtemps probablement. Pierre avait eu le temps de me recouvrir de la seconde couverture. J’étais bien, j’étais au chaud, les regards de Marc m’entouraient en esprit et j’étais détendue. Le sexe de Pierre vivait dedans moi sans douleur aucune, même un petit plaisir. Il a pris mes mains et j’ai poussé un petit cri de surprise lorsque sur un mouvement de mon bassin il s’est brusquement tendu et a éjaculé au fond de mon anus. Nous sommes restés longtemps dans cette position, le sexe de Pierre restait dressé dedans moi. Lorsqu’il a commencé à me quitter, ...

... presque à regret, j’ai dit : — Oh Pierre ! Tu reviendras n’est-ce pas ! J’ai commencé à ressentir d’étranges vibrations dans mon corps. La nuit allait tomber dans une heure et nous n’avions pas de feux sur notre dériveur. Nous sommes rentrés précipitamment. Nous avons dîné avec les autres. Marc était là. J’ai pu lui souffler à l’oreille : — Toi et Pierre, vous m’avez prise de partout. C’était bon aussi par derrière mais je n’ai pas joui. Merci Marc, je t’aime encore plus du don que tu m’as fait de Pierre. Il m’a répondu : — Prends surtout tout le plaisir que tu peux mais réserve-moi ton vagin si tu le peux. J’aimerais, une nuit, que Pierre te sodomise dans ta chambre. Je pourrais vous entendre…— Pas cette nuit, mon Marc, mais demain soir Pierre voudra certainement me conduire jusqu’à l’orgasme, mon premier orgasme anal. Maintiens la porte entre nos deux chambres légèrement entrouverte. Quant à mon vagin il n’y a pas de risque avec Pierre. Pour lui je suis un garçon et il n’est intéressé que par ma gorge et mon anus. Il n’a pas touché mon sexe et ne le touchera pas. À présent que je suis avec toi, je me rends compte qu’à aucun moment je n’ai eu envie que l’on caresse mon sexe ou qu’on le pénètre, même lorsque les copains de Pierre me faisaient danser. Et pourtant je savais qu’ils n’avaient qu’une envie : me baiser. Cette nuit Pierre a dormi dans mon lit mais nous étions trop épuisés pour faire l’amour. Au matin, pour le réveiller j’ai pris son sexe qui a brusquement durci dans ma ...