Docile Béa (1)
Datte: 27/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... certes, mais aucune protestation, aucune rage et aucun gros mot à mon intention. À croire qu’elle cherchait cette correction. Satisfait, je la relâchais. Elle glissa sur le sol sans me regarder. À genou, elle finit par s’excuser platement. Ne voulant pas que ma mère lui donne une autre engueulade, je lui conseillais d’en mettre un par jour, au sale. Cependant, histoire de la tester et, aussi, de la bousculer un peu, je lui ordonnais, sans trop y croire, de ne plus mettre de pantalon et encore moins de culotte. J’ouvrais la porte et lui montrais la direction de sa chambre. Elle revint une bonne dizaine de minute plus tard, en jupe, une jupe mi longue. Je la soulevais, pas de culotte. Je caressais son sexe, elle écarta ses cuisses. Elle mouillait et pas qu’un peu. Sans que je ne le lui demande, elle croisa ses bras dans son dos. Ses yeux fermés me disaient qu’elle aimait que je la caresse. Je plongeais un doigt dans son sexe, Béa était encore vierge à vingt ans. Là, elle me fixa longuement, le visage tendre, les joues un peu rougies par ma découverte. J’attirais son visage sur le mien, on s’embrassa tendrement. « Ce soir, dans ta chambre, sois prête ! » « Oui, Monsieur, je suis à vous désormais. » Sa réponse me conforta dans mon esprit. J’avais visé juste, elle était amoureuse de moi au point de me voler mes slips et d’enivrer en les respirant et les mettant. Ce que j’éprouvais me dépassait. Il y avait un mélange d’amour et de perversité dans ma tête. Je ne savais comment me ...
... comporter, tendre et amoureux ou dur et dominant. Je crois qu’un peu des deux était un bon mélange, du moins au début. Et puis, sa réponse : oui monsieur, je suis à vous me tournait en boucle dans ma tête. Vers dix-huit heures, mes parents sortirent manger en ville et aller au théâtre après, cela tombait à pic. Dès leur départ, je me suis rendu dans la chambre de Béa. Me voyant, elle sortit mes slips, les respirant un à un. Près d’elle, je l’ai couchée sur le dos, ma main sur son sexe trempe de cyprine. Mon autre main glissa sous son pull, sous son soutien-gorge, découvrant une belle poitrine sous ma paume. Je retirais mes mains, lui demandant de se lever et de tout retirer. Elle ne se fit pas prier deux fois. Lentement, elle fit glisser sa jupe sur le sol. Lentement, elle retira son pull. Plus lentement encore, son soutien-gorge glissa le long de ses bras. Nue, elle se mit à genou, ses mains dans son dos, genoux écarté. Je posais mon index sur sa bouche, elle me le prit, me le suça langoureusement. D’une main, je massais sa poitrine lourde, laiteuse, belle, sublime même et terriblement sensible. Je la fixais encore, elle n’en finissait pas de sucer mon index. Je giflais sa joue d’une petite claque. Elle ne cligna même pas des yeux. Une seconde, un peu plus forte, elle ne baissa pas son regard. Une troisième, encore plus forte, elle lâcha mon index, me remercia. Pendant un moment, je la regardais, sans savoir que faire. Je pris alors un sein dans chaque main, les tripotais, les ...