1. Docile Béa (1)


    Datte: 27/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... étirais. C’est à peine si elle esquissa une grimace. Je pinçais plus fort encore. Sa bouche montra le degré de la douleur. J’étirais encore, elle serra les dents. Et pourtant, elle aurait pu crier, protester ou me gifler, non, rien. Je la relevais, la couchais sur mes cuisses. Je me suis mis à la fesser plus durement encore que la première fois. Elle se laissa faire, c’est toujours juste si je l’entendais pleurer, me demander pardon pour le vol de mes culottes. Enfin, je la couchais sur son lit, j’écartais ses cuisses laiteuses comme toute sa chair si douce au toucher, une peau satinée, délicieuse à caresser. Je retirais mon pantalon, mon slip, ma chemise. Je me suis couché contre elle, caressant son sexe. Parfois, j’étirais son clitoris. C’est à peine si elle grimaçait. Lentement, je me suis mis sur elle, me suis guidé en elle. Lentement, je me suis mis à aller et venir, butant sur son hymen. Je l’embrassais, elle répondait à tous mes baisers. Sa bouche avait un gout merveilleux, succulent même. D’un coup sec, je déchirais sa virginité. Elle fit une vilaine grimace, fermant ses yeux. Je vis des larmes que je m’empressais d’essuyer de ma langue. J’étais en elle, bien elle, je restais un moment sans bouger, qu’elle s’habitue à mon sexe. Puis, toujours lentement, je m’activais en elle. Ses bras m’enlacèrent, sa tête se redressa, cherchant ma bouche. « Je vous aime, Monsieur, soyez mon Maître, mon éducateur, mon guide. » « Je peux être sévère, plus sévère que jusqu’à maintenant ...
    ... » « Peu m’importe, je ne veux que vous appartenir » Je me retournais, la mettant au-dessus de moi. Elle me chevaucha, accélérant le tempo au fur et à mesure. Je me retenais, me souvenant de mes premiers amours avec cette collègue âgée d’une quarantaine d’année. J’en avais à peine vingt à l’époque. Béa gémissait, son visage se déformait quand l’orgasme se fit jour. Elle roucoula de bonheur, un visage comme si elle souffrait l’enfer. Elle explosa, se dissolvait dans l’espace intersidéral. Plus elle jouissait, plus elle voulait encore jouir. Je la freinais d’une paire de claque sur son opulente poitrine. Elle me fixa encore, me tendit ses seins. Je les giflais plus fort, elle jouissait encore plus violemment. Je finis par jouir en elle. Je l’achevais d’une méchante fessée, elle ne cria pas, tout juste quelque larme qui coule sur son visage. Elle me remercia en léchant mes doigts, baisant ma main et se positionna à genou à mes pieds, attendant la suite. La suite fut vitre réglée, je bandais devant cette fille si docile. J’attirais son visage sur ma queue, elle me suça, parfois maladroitement, cela lui valait un gifle. Elle comprit vite et j’éjaculais dans bouche sans la prévenir. Elle toussa sans pour autant recracher mon sperme. Elle l’avala devant moi, la bouche ouverte pour que je ne manque rien. Je caressais sa joue, lui disant qu’elle ferait une bonne épouse si elle se montrait toujours autant docile. ykiyuuej L’avenir me le prouva. Après avoir terminé son temps comme fille ...