Docile Béa (1)
Datte: 27/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... au pair, je la pris chez moi, dans mon modeste studio. Elle le tenait toujours propre. Toujours prête à me satisfaire, elle déambulait nue dans le studio, ne portant qu’un soutien-gorge pour préserver sa belle poitrine aussi ferme que possible. Parfois entravée pour faire le ménage, les repas, elle ne rechigne jamais à la tâche. Si je la punis, c’est parce qu’elle faute, jamais juste pour mon plaisir. Cela dura un an avant que je ne revienne vivre près de ma mère avec elle. Avant de pénétrer dans l’appartement, je lui mis sa laisse et lui laissait le soin de sonner. Ma mère ouvrit la porte, resta plantée là de stupeur devant Béa à genou, les mains sur la tête. Une fois dans le salon, d’un claquement de doigt, Béa retira sa robe, dévoilant son corps nu à maman. Je lui expliquais l’histoire de mes slips, Béa confirma et baisa les pieds de ma mère en signe d’excuse, mais pas que, de soumission aussi. Béa se mit rapidement au travail, nettoyant tout l’appartement comme au printemps. Maman n’avait rien à faire d’autre que de la regarder faire. Un soir, je poussais Béa entre les jambes de maman. Ni l’une, ni l’autre n’avaient jamais fait ça et moi, je crevais d’envie de voir Béa faire jouir ma mère. Maman me fixa, presque horrifiée. L’ordre rompit durement le silence de plomb qui était tombé et Béa se mit à l’ouvrage entre les jambes de ma mère pétrifiée, paralysée. Peu à peu, devant l’adresse de Béa, maman se décomposait de plaisir, son regard toujours plongé dans le mien. Après ...
... quelques verres, maman était aux portes de l’orgasme. Je profitais de ce moment de faiblesse pour lui mettre mon sexe tendu dans sa bouche. Je pensais me prendre une paire de claque, maman me fit une délicieuse fellation. Elle jouit de Béa, je me retirais de ma mère pour posséder Béa devant ma mère. Je fis jouir ma soumise devant celle qui m’avait enfanté. Six mois après être revenu à la maison, j’épousais Béa. À son cou, elle portait un collier de cuir blanc avec une petite médaille accrochée dessus. Il y est gravé que Béa est ma propriété exclusive. Seulement sur mon ordre, elle fait jouir ma mère. Du reste, je lui ai trouvé une amie de son âge, à ma mère. Depuis, entre elles, c’est à la vie à la mort. Faute de moyen, c’est un an après qu’on passa notre voyage de noce en Grande-Bretagne. Nous y avons visité tous les clubs fétichistes de Londres et ses alentours. Il en fut de même dans chaque grande ville visitée. Ma Béa était heureuse de se faire prendre sous mes yeux pendant que je baisais une autre femme ou que je la punissais. Elle fut aussi punie et, cerise sur le gâteau, tatouée de mon nom, de mon titre de propriété. De retour dans notre nouvel appartement, elle se fit plus soumise encore, devenant mon esclave, refusant la moindre liberté, le moindre cadeau. Nous vivons au-dessus de ma mère. Béa me fit deux beaux garçons. Elle fit tout pour retrouver sa silhouette d’avant. Et cela fait presque trente ans que cela dur. Jamais nos enfants ne se doutèrent de la soumission ...