1. La tentation était trop forte (1)


    Datte: 27/05/2021, Catégories: Hétéro

    ... On est clairement en train de discuter de notre coït futur, alors que pour moi il ne s’agit toujours que d’un jeu. Mais comment je vais en sortir, moi, de ce jeu maintenant ? Il me glisse alors la main dans les cheveux et commence à me les caresser. — Vous êtes très belle, Cat’… lâche-t-il dans un murmure. J’aime beaucoup ce qu’il fait. Sa douceur, sa tendresse, ses mots doux… tout ça me fait ressentir des choses que je n’ai pas ressenties depuis tellement longtemps ! Je vois son regard se poser sur mes seins, il les dévore des yeux. Sans doute sa copine n’en a-t-elle pas d’aussi gros ? J’aimerais qu’il continue, qu’il aille juste un peu plus loin éventuellement, mais que nous puissions tout arrêter facilement quand nous en aurons envie. Or là je ne sais pas comment arrêter la machine. Et je n’en ai pas très envie. Pas tout de suite. Pourtant, c’est lui qui s’arrête. Il regarde un peu dans le vague, semble vouloir reprendre ses esprits. — Je… je suis désolé Cat’, je ne sais pas si c’est une bonne idée… Il bafouille, semble chercher ses mots. — Il y a ma copine et tout, je ne voulais pas forcément que ça aille trop loin… Quoi ? Il ne va quand même pas tout arrêter maintenant ? Je suis tellement désarçonnée que j’en oublie même que je me proposais de le faire il y a quelques instants encore, mais sans y parvenir. Le truc c’est que je voulais le faire quand j’en avais envie, quand je le sentirais nécessaire, pas maintenant… Il se lève, s’excuse et prétend qu’il doit s’absenter ...
    ... un moment. Il a raison, un court séjour aux toilettes est un excellent moyen de se remettre les idées en place. Frustrée, dépitée, trahie, je m’applique à faire tourner mes méninges aussi vite que les vapeurs d’alcool qui les grippent me le permettent. Je dois le reconquérir, le remettre sur les rails. Pourquoi ? Jusqu’où ? Je ne sais pas, mais je m’en préoccuperai plus tard. Pour le moment il faut reprendre la main. La solution m’apparaît bientôt, limpide. Vu comme il a regardé mes seins, je devine qu’il les désire ardemment. Je retire alors mon soutien-gorge, promptement, et je déboutonne légèrement mon haut pour faire plonger un peu plus mon décolleté. J’ai à peine le temps de cacher mon sous-vêtement dans mon sac à main et de me réajuster légèrement qu’il arrive déjà. — Écoutez Cat’… Il s’interrompt, la bouche légèrement entrouverte, son regard fixé sur mon décolleté. Peut-être ai-je exagéré quelque peu ? Je jette un œil et constate que oui, je n’y suis pas allé de main morte : l’ouverture de mon haut laisse désormais peu de place à l’imagination. — Viens à côté de moi, qu’on en discute, lui dis-je en me penchant légèrement. C’est tout juste si mes seins ne sortent pas de leur cage. Il s’exécute, blanc comme un linge, et reprend sa place à mes côtés. Désormais, ses yeux ne quittent plus guère ma poitrine. — Tu me parlais de ta copine je crois ? J’essaye de relancer la conversation comme je peux, mais ma tentative n’est pas brillante. De toute façon Guillaume s’en fiche, il ...
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