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Qui suis-je vraiment? 05
Datte: 28/05/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme
... point de m'asseoir le serveur m'arrêta d'un geste de la main et sans un mot défit les deux derniers remparts retenant les pans de ma robe. D'un geste bref, il les ouvrît alors pour faire admirer mes seins ainsi que ma chatte toute lisse. Faisant glisser son doigt jusqu'à l'entrée de mon vagin , il agrippa le mince bout de tissu qui dépassait et tira lentement pour faire ressortir la serviette de mon intimité. Les frottements et la surprise m'obligèrent à m'appuyer sur le rebord de la table puis à respirer fortement pour ne pas crier. Mes tortionnaires s'esclaffèrent de me voir prendre ma passivité malgré la honte qui s'exprimait sur mon visage. Mais ils n'en n'avaient pas finis avec moi. Le serveur exhiba le linge pour ensuite le montrer aux deux autres acolytes. - Serveur : Je n'ai jamais vu une serviette aussi sale. - Nietzsche : Tu as trempé toute la serviette. Tu es une sacrée chienne Laurence. - Homme pervers : C'est vrai que je n'en n'ai jamais vue une comme cela. Après avoir inspecté l'état du tissu qui encombrait ma cavité, ils me le collèrent sous mes yeux pour me pousser à admettre et dire à haute voix que j'aimais être rabaissée et palpée ainsi. Nietzsche m'intima ensuite l'ordre de m'asseoir pour boire un digestif. Mais au lieu d'être servi par le maître d'hôtel, c'est « Fabrice », alias l'homme au regard et mains perverses, qui me servît. Je n'avais pas eu le droit de choisir entre armagnac ou cognac, en fait le verre était à moitié plein de liquide blanchâtre. - ...
... Nietzsche : Tu en fais une tête Laurence? Tu n'apprécies pas le digestif qu'on te propose. - Moi : Mais ce n'est pas un alcool??? - Nietzsche : Non??? Et c'est quoi alors? - Moi : C'est du sperme!!! - Nietzsche : Et ta bouche adore çà. Quand j'ai éjaculé tout à l'heure tu n'as pas fait de simagrées pour avaler ma semence alors tu vas me faire plaisir de boire maintenant ... Tiens, pour la peine d'avoir hésitée, tu vas nous dire que tu es un sac à bite, et que tu rêves de te faire défoncer par tous les trous. Malgré mon regard implorant, Nietzsche ne céda pas et me tendit le verre. Vaincue je me mis à répêter ses mots! - Moi : Messieurs, je suis un sac à bite, et j'ai envie que vous me défonciez par tous les trous. - Nietzsche : C'est bien ma petite soumise. Bon on s'est tous branlé pour que tu puisses te délecter de cette liqueur. Allez, bois maintenant. - Homme pervers : Et tu as intérêt à finir tout le verre car c'est précieux ... ... ah ah ah!!! Désappointée, je pris le verre et d'un trait avalai la mixture visqueuse. Je me surpris même à secouer le verre pour faire tomber les dernières gouttes dans mon gosier. Heureux de voir son plan se dérouler à merveille sans aucun refus de ma part, Nietzsche proposa à nos hôtes de poursuivre mon éducation le lendemain soir dans un lieu insolite qui ne me fût dévoilé qu'au dernier instant. Epuisée je quittais le restaurant accompagnée par Nietzche qui m'accorda l'honneur de reboutonner le premier et dernier bouton de ma robe. Inutile ...