Mise à l'eau
Datte: 29/05/2021,
Catégories:
ffh,
jeunes,
frousses,
copains,
vacances,
dispute,
photofilm,
Oral
pénétratio,
prememois,
hff,
... fusaient. Après l’envolée de plumes, une trêve nous laissa le temps de nous calmer un peu. Je m’étais installé sur le lit, couché entre les deux filles pour reprendre mon souffle. J’avais toujours l’appareil photo dans les mains et je lançai cette remarque : — Ah ! J’ai toujours voulu me retrouver dans un lit avec deux charmantes filles !— C’est bien un fantasme de macho ça ! me répondit Céline.— Tiens, je vais prendre ce grand moment en photo, c’est l’occasion d’immortaliser un événement qui ne se reproduira peut-être pas, annonçai-je. Je serrai mes deux amies entre mes bras pour les rapprocher et je tendis l’appareil photo à bout de bras afin de prendre le cliché. Flash ! — Ça ne fait pas réaliste, fit Carole amusée. Si c’est pour te vanter plus tard, rien ne prouvera sur cette photo que tu as couché avec nous. Nous sommes tous habillés.— Tu as raison. Peut-être devrions-nous reprendre cette photo sous les draps. Seules nos têtes sortiront de la couette .— Pff ! C’est ridicule, répliqua Carole en m’arrachant l’appareil des mains. Tu vas voir ! Enlève ton tee-shirt, me dit-elle. Et toi, Céline, enlève ton haut de pyjama. Tu te colleras à lui et on ne verra pas tes seins à l’image, mais on croira que vous êtes nus tous les deux et que vous venez de faire l’amour. J’hallucinais. Je venais de basculer dans la quatrième dimension. Je fus tout de même pris par le jeu. Mais je trouvais curieux que l’idée vienne de l’une des filles. Cette petite mise en scène m’amusait et la ...
... situation commençait aussi à m’émoustiller car Céline, habituellement pudique, glissa sous les draps pour enlever son haut. Je n’en revenais pas ! Elle acceptait de se prêter au jeu. J’enlevai mon tee-shirt, dévoilant mon torse légèrement velu. À l’époque, j’étais encore svelte et mes muscles pectoraux et abdominaux étaient encore saillants. Puis Céline se glissa contre moi de manière à ne pas me montrer sa poitrine. Et rejeta un peu les draps. Je ne vis strictement rien, mais je sentais peser ses seins contre mon torse. C’était pire que si je voyais quelque chose, car cela a eu une effet bœuf sur mon imagination. — Voilà, c’est bien, dit Carole. Flash ! — Oui, mais dis-moi, fit Céline toujours contre moi. Je suis sur la photo mais toi tu n’y es pas. Ça ne prouve toujours pas qu’il ait couché avec nous deux en même temps.— Eh non, c’est vrai, ajoutai-je de plus en plus amusé par la situation .— D’accord, répondit Carole. Je vais faire comme toi Céline. Elle lui jeta l’appareil photo et se glissa sous les draps. D’un geste réflexe, Céline attrapa l’appareil, ce qui me permit enfin de voir furtivement et pour la première fois de ma vie ses deux superbes seins qui bien que menus étaient magnifiques. Ses deux tétons pointaient légèrement. Puis Céline s’écarta de moi en se cachant les seins sommairement. Elle se mit en position de prise de vue. Un bras en travers de la poitrine et l’autre tenant l’appareil. Pendant ce temps, sous les draps, Carole avait enlevé sa chemise de nuit. Et, ...