1. En passant par la Lorraine


    Datte: 01/06/2021, Catégories: fh, fhhh, couleurs, inconnu, uniforme, vacances, train, toilettes, fsoumise, Oral pénétratio, confession, fhh,

    ... plus indiscrètement, mes jambes, mes hanches, mon buste. Rachid se joint aux louanges de son chef et me lance : — Je rêverais de vous voir en maillot ! Pratiquez-vous le monokini ? Le naturisme ? Je lui avoue que, quand je ne suis pas la seule à l’être, je suis seins nus sur la plage, et que Stéphane, mon ex, m’avait plusieurs fois emmenée sur des rivages naturistes. C’est alors que passe le contrôleur demandant nos billets. Zut, je les ai laissés dans mon sac. Il me faut aller les chercher. — Hors de question, Rachid va y aller.— Non, je vais en profiter pour voir les enfants !— J’accepte, mais à une condition : vous revenez ici si tout va bien ! Promis ?— Oui, dis-je sur un ton de vaincue. J’arpente les quatre wagons me séparant de notre compartiment. Je m’escrime à ouvrir chacune des portes, regrettant la galante assistance de mon beau militaire et, peut-être aussi, les frissons provoqués par l’effleurement de nos bustes à chaque passage. Lorsque j’arrive à destination, je découvre un tableau charmant : les deux enfants ont rejoint la banquette de Kevin. Ils dorment en l’entourant, Léo a même posé sa tête sur la cuisse du jeune militaire qui lit. Il me lance un charmant sourire quand il m’aperçoit, je lui fais signe de se taire pour ne pas réveiller les enfants. Je lui chuchote à l’oreille que je viens chercher les billets, il me prend délicatement par le cou pour rapprocher mes lèvres de son oreille, comme pour mieux m’entendre. Je me dégage, troublée par ce contact, ...
    ... prends mon sac et repars pour un parcours… du combattant ! Je croise en chemin le contrôleur, qui vérifie mes billets. Juste avant le wagon bar, je m’enferme dans les toilettes, je refais mon maquillage en l’appuyant un peu plus. Au moment de sortir, d’un geste que j’ai du mal à m’expliquer, j’ouvre le bouton du haut du décolleté de ma robe. Je suis accueillie par de grands sourires lorsque je rejoins les deux hommes. Évidemment, ils ont de nouveau rempli mon verre de bière. Je suis particulièrement sensible aux effets de l’alcool ! Henri me raconte sa vie de militaire, ses campagnes passées, son amour pour sa petite fille. Rachid parle peu, je sens le respect qu’il a pour son chef. Nous devisons comme si je connaissais depuis longtemps mes deux compagnons. Je sens la hanche d’Henri venir au contact de la mienne pendant qu’il me parle. J’essaie de l’éviter, mais, à force d’avoir tourné sans en avoir l’air autour de la petite table ronde, je me suis approchée de Rachid, qui plonge des regards osés sur mon buste partiellement dévoilé. Je suis finalement contrainte d’accepter le contact ambigu… Les deux hommes insistent pour m’offrir une troisième tournée, ce que je refuse. D’ailleurs, la boisson ingurgitée m’impose une visite rapide aux toilettes, et je leur demande de retourner à notre compartiment. Lors du cérémonial des passages de portes entre les wagons, Henri n’hésite pas à poser sa main sur ma hanche maintenant. Je fais un arrêt pour soulager ma vessie, Henri dit à son ...
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