1. En passant par la Lorraine


    Datte: 01/06/2021, Catégories: fh, fhhh, couleurs, inconnu, uniforme, vacances, train, toilettes, fsoumise, Oral pénétratio, confession, fhh,

    ... dirige vers le wagon bar. Je croise le regard de mon tourmenteur, il m’adresse un sourire enjôleur ; malgré moi, je lui rends son sourire. Alors que Camille reprend son verbiage, nos regards se croisent et s’accrochent à nouveau, je me sens envoûtée, je néglige même de tirer sur ma robe un peu trop relevée. Heureusement, Kevin revient assez vite, accueilli par les cris de joie des enfants. Il leur a même rapporté des barres chocolatées. Je me plonge vers mon sac pour prendre de l’argent et le rembourser, et à nouveau je sens la main d’Henri qui se pose fermement sur mon épaule, me maintenant courbée. Il me maintient quelques secondes ainsi qui me paraissent durer une éternité, et je sens son regard, et je sens leurs regards, qui s’infiltrent sans vergogne dans le sillon qui sépare mes seins. Puis il me lâche et me dit : — Nous sommes heureux d’offrir à vos charmants enfants ce petit en-cas. Comme Camille grignote sa barre de chocolat en sirotant son coca, ils se mettent à me questionner à leur tour. Oui, j’habite en banlieue parisienne, j’ai un poste d’assistante de direction. Oui, c’est difficile de mener de front la vie de mère s’occupant seule de ses deux jeunes enfants et une activité professionnelle chronophage aux côtés d’un patron exigeant. Non, je n’ai guère le temps de m’occuper de moi, si ce n’est une heure de gym par semaine, non, je ne suis pas pressée de refaire ma vie auprès d’un égoïste. Oui, parfois, la solitude me pèse… Je me rends compte que je suis en ...
    ... train de leur faire une sorte de striptease moral avec une étrange complaisance, mais, d’un autre côté, je me sens comme allégée de me livrer ainsi devant des inconnus. Les enfants, rassasiés, se sont assoupis, et je me livre sans trop de retenue à cet interrogatoire presque intime. C’est alors que le grand me propose : — Venez, nous vous offrons un pot au bar.— Mais ça m’est impossible, je ne peux pas laisser les enfants seuls !— Mais ils ne seront pas seuls, Kevin va les garder ! Je reste abasourdie : voilà qu’on me propose un baby sitting militaro-ferroviaire ! Mais il ne me laisse guère le temps de gamberger et, me prenant le coude de sa main toujours aussi ferme, me fait lever, m’oriente vers la porte du compartiment qu’il ouvre, s’efface pour me laisser passer. Je marche devant, Rachid nous suit. Nous arrivons devant la porte du wagon, dure à ouvrir. Galamment, il se précipite pour l’ouvrir, se met de profil. Je sursaute : en passant, mes seins ont effleuré son buste. Ce manège se répète à chaque porte, et j’ai l’impression que le contact est chaque fois plus net. Lorsque nous arrivons au wagon bar, je sens nettement mes tétons qui pointent. J’espère qu’ils n’ont rien deviné, mais leurs regards me semblent prouver le contraire. Il commande d’office, sans même me consulter, trois bières, et nous rejoignons une petite tablette ronde à l’écart. Tout en savourant la fraîcheur du breuvage, j’ai droit à toute une série de compliments, sur mes yeux, ma coiffure, mes lèvres, puis, ...
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