En passant par la Lorraine
Datte: 01/06/2021,
Catégories:
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... compagnon de partir devant, il m’attendra. Lorsque je ressors de l’exigu local, Henri est devant la porte. Il s’avance vers moi, pose ses mains sur mes hanches et m’attire à lui. Je sais que je devrais résister, mais sa prestance me fascine. Adossée à la porte des toilettes, je laisse ses lèvres se poser sur les miennes, sa langue se faufiler dans ma bouche, son souffle aspirer ma salive. Il y a longtemps qu’un homme ne m’avait pas embrassée ainsi, et mon beau militaire se révèle être un pro du baiser. J’ai les jambes en coton, je me retiens à lui. Il me plaque contre lui d’une main, l’autre entame un merveilleux ballet le long de mon flanc, montant et descendant le long de ma robe, de mon sein à ma cuisse. Il ouvre la porte des toilettes et avec une ferme douceur, m’y pousse. Je sais que je ne devrais pas, mais mes défenses sont comme annihilées. Une fois la porte verrouillée, il se plaque contre moi, me courbe vers l’arrière, et ouvre un à un les boutons de ma robe. Je sens son orgueilleuse virilité dressée contre mon ventre. Il plonge ses doigts dans mes bonnets de soutien-gorge et en extrait, l’un après l’autre, mes seins. La main qui me soutient a glissé sous ma robe, et m’empaume les fesses par-dessus mon shorty. L’autre joue avec un téton, il me mordille l’autre sein, je ferme les yeux, ses caresses me rendent folle, je sens mon ventre suinter et le plaque contre son membre. Pendant un long moment, courbés, moi en arrière, lui en avant, encastrés l’un dans l’autre ...
... à travers nos vêtements, il joue sur ma poitrine, de sa langue, de ses doigts, une merveilleuse partition sur mes globes mammaires. Enfin, il s’en écarte, défait les deux derniers boutons encore fermés, s’arrête pour me regarder, impudique et offerte, dépoitraillée. Il ôte ma robe, crochète les bords de mon shorty et le fait glisser le long de mes hanches. Il me regarde à nouveau, me dit que je suis belle et bandante, s’agenouille devant moi malgré l’exiguïté du leu et pose ses lèvres sur ma féminité. Sa langue joue avec mes lèvres, je gémis, lui caresse le crâne en jouant avec ses courts cheveux. Elle m’investit plus loin, découvre mon bouton, le titille, le mordille. Je lui ouvre ma voie intime. Mon plaisir monte, il ralentit sa cadence, j’en profite pour atteindre la boucle de sa ceinture ; je suis courbée en arrière et ne parviens pas à l’ôter. Alors, il me relève, et j’arrive à mes fins, son pantalon et son boxer glissent jusqu’au sol, et son membre, orgueilleux et magique, émerge devant mes yeux. Il est fin, long, racé, nerveux. Je veux le prendre en main, il m’esquive, se glisse derrière moi, s’assied sur letrône, me fait asseoir sur lui en m’attirant les hanches. Je sens son sexe qui se glisse le long de ma fente, et qui émerge, bizarrement, entre mes cuisses, comme si j’avais moi-même un bout de sexe masculin entre les jambes. Il me saisit les flancs et me soulève légèrement. La friction de son pieu entre mes lèvres intimes me grise, je sens le plaisir sourdre. Il ...