Plus on est de fous, plus on rit
Datte: 01/06/2021,
Catégories:
grp,
inconnu,
fsoumise,
hdomine,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
sm,
attache,
yeuxbandés,
fouetfesse,
fsoumisah,
boitenuit,
... — Vous devez toujours remercier un maître après qu’il se soit occupé de vous, de quelque manière que ce soit. Ce seront les seuls mots que vous serez autorisées à prononcer. Vous devrez également toujours demander la permission avant de jouir. Si un maître décide de vous punir, vous ne devez en aucun cas crier pendant la sentence et devez compter les coups donnés. Les deux nouvelles vont voir leurs mains être détachées afin de leur permettre de saisir l’anneau si telle était leur envie mais je vous demande, mesdemoiselles, de garder les mains dans votre dos, sauf si vous voulez mettre un terme à votre présence ici. Deux maîtres s’avancèrent et libérèrent les poignets d’Élodie et de sa voisine. Aucune des deux ne bougea. — Que la fête commence, finit l’organisateur. Un maître se plaça devant Élodie et ce n’était pas Gilles. Il portait des chaussures de cuir noir et un pantalon en tissu, mais Élodie, n’ayant pas le droit de lever vers lui, n’aurait pu décrire le reste de son apparence avec précision. Il se plaça derrière elle et lui fit comprendre d’un geste qu’elle devait se tenir le dos bien droit. Il lui dit se nommer maître Stan, puis il lui caressa les cheveux et le visage, comme s’il voulait prendre le temps de la découvrir. Élodie se laissa faire. Il passa ses mains sur son corps, par-dessus ses vêtements puis commença à ôter les boutons qui maintenaient par-devant le petit haut. Élodie comprit pourquoi son maître avait choisi ce vêtement. Sans manche, il s’ôtait très ...
... aisément. Ainsi, elle eut la poitrine libre en un rien de temps. Maître Stan joua avec ses seins déjà dressés par l’excitation. Il la pétrit, la pinça, lui arrachant parfois des gémissements de plaisir ou de douleur, guettant ses réactions, la testant. Il se désintéressa ensuite de sa poitrine et lui ôta sa jupe en ouvrant la fermeture éclair qui la maintenait d’une pièce. Élodie sourit. Décidemment, Gilles avait tout prévu. Elle se retrouva ainsi presque nue, seulement couverte de ses bas tenus par les porte-jarretelles. Elle se demanda soudain où était Gilles et ce qu’il faisait. Elle leva donc les yeux pour le chercher. Elle entendit le claquement une demi-seconde avant de ressentir la morsure du fouet du maître qui s’occupait d’elle. Surprise, autant par l’attaque que par la douleur bien supérieure à celle dont Gilles l’honorait habituellement, elle cria. Le second coup ne tarda pas. Un troisième tomba. Cet homme n’utilisait ni une cravache, ni une quelconque forme de martinet, mais un fouet. Simple mais très efficace. Lorsqu’un quatrième s’abattit, Élodie ne put s’empêcher de crier une autre fois. Elle attendit le cinquième, qui ne vint pas. Elle regarda autour d’elle pour comprendre pourquoi le maître ne la punissait pas. Elle appréciait mais ne saisissait pas. Elle se rendit alors compte que Gilles faisait signe au maître d’arrêter. Il s’approcha, se mit derrière Élodie et chuchota à son oreille : — Ne lève pas les yeux, et comptes les coups qui te sont portés. Il ne ...