Plus on est de fous, plus on rit
Datte: 01/06/2021,
Catégories:
grp,
inconnu,
fsoumise,
hdomine,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
sm,
attache,
yeuxbandés,
fouetfesse,
fsoumisah,
boitenuit,
... s’arrêtera pas tant que tu ne compteras pas. Comment te sens-tu ? La douleur est-elle supportable ? Réponds en chuchotant.— Oui, maître, c’est supportable mais il fait vraiment mal.— C’est un maître SM. Il profitera pleinement de chacune de tes erreurs. Il ne lâchera rien. Offre-lui de te punir, il le fera sans hésiter. Élodie hocha la tête. — N’oublie pas les règles. Tu m’as prouvé que tu étais capable de les suivre alors fais le.— Oui, maître, répondit Élodie en se rendant compte que son maître était déçu de son attitude. Elle avait été la première à recevoir une punition. Gilles s’éloigna et Élodie baissa les yeux. Lorsque fouet la mordit à nouveau, elle ne cria pas et compta à voix haute. Il ne la frappa que deux fois et Élodie n’oublia pas de le remercier. Il remit son fouet à sa ceinture et continua à la découvrir. Élodie resta bien gentille et ne leva plus les yeux. Il détacha ses chevilles et lui ordonna de se mettre debout. Certaines filles étaient déjà parties dans une autre pièce. Deux autres, dont l’autre nouvelle, étaient encore dans le salon. Élodie, debout, laissait maître Stan la contempler. Il lui ordonna de retirer les vêtements qu’il lui restait et elle le fit pour lui, sans toutefois le regarder. Elle ne vit pas maître Stan sourire mais elle sentit qu’il appréciait. Lorsqu’elle eut terminé, il attacha sa propre chaîne à son collier et l’obligea ainsi à sortir de la pièce. Les autres soumises avaient-elles été menées de la sorte ? Élodie n’en savait rien, ...
... elle ne les avait pas regardées. La pièce voisine était entièrement vide mais tout aussi bien chauffée que le salon. Le sol avait été recouvert de tatamis qui le rendaient tendre et par endroit, on voyait des chaînes et des anneaux. Deux soumises étaient déjà là, attachées au sol, un maître en train de s’amuser avec elles. Maître Stan plaça Élodie un peu plus loin et lui ordonna de se mettre debout contre le mur. Ses mains furent attachées au-dessus de sa tête mais les liens étaient suffisamment lâches pour lui permettre de toucher son collier et l’anneau rouge libérateur. Maître Stan lui banda les yeux. À partir de ce moment, elle ne sut jamais qui joua avec elle. On la lécha partout, on joua avec elle, on la fit se retourner pour la prendre par derrière. Elle omit souvent de remercier si bien que sa peau fut rapidement rougie. Chaque maître avait son instrument de prédilection et elle eut droit à tout : cravache, fouet, martinet simple ou chat à neuf queues. Elle reçut même des sensations dont elle aurait bien été incapable d’indiquer la provenance. Elle eut cinq orgasmes. Parfois, on lui apportait de l’eau. Lorsqu’un maître voulait qu’elle lui donne une petite gâterie, il allongeait les chaînes pour lui permettre de s’agenouiller et elle lui offrait son désir. Le moment qu’Élodie préféra fut lorsqu’elle sentit plus de deux mains se poser sur elle en même temps. Elle ne savait pas combien il était, deux, trois, quatre ? Beaucoup, en tout cas. Elle adora leurs caresses. Elle ...