1. Dimanche salé-sucré


    Datte: 02/06/2021, Catégories: ff, fépilée, Oral init,

    ... répondit-elle, dépitée. J’ai pas de jours "normaux" : je ne suis dans la boîte que depuis quatre mois. Et malade… euh… oui, je suis malade de toi, de ton corps, de tes baisers… Tu crois qu’un médecin pourrait me faire un arrêt suffisamment long pour me soigner ? Elle retrouva un petit sourire mutin en disant cela. Je répondis : — Je ne pense pas que les médicaments soient efficaces contre cette maladie-là… Il faut soigner le mal par le mal. Je crois que je vais être super-malade, demain.— Une seule journée pour te soigner ? Regarde, ton nez coule encore ! Et elle remonta un doigt à l’intérieur de ma cuisse jusqu’à mes lèvres, puis glissa son doigt en moi et le retira, baigné de cyprine. — Ça va demander du temps pour sécher, et il va te falloir de l’aide. Elle souriait à nouveau pleinement et son regard n’était qu’une supplique, qu’une demande de sexe. — Il faut quand même faire une machine. J’aime te voir nue ; mais avec un string, je n’ai pas encore testé… T’es peut-être encore plus excitante en sous-vêtements.— Si tu veux faire des essayages, on peut occuper l’après-midi en se pomponnant, en se faisant belles… Il faut toujours que je te dise LE Truc… Elle se remit à rire en faisant un clin d’œil tout aussi amusant. — OK, ça me va… Et sur ces paroles, je me coupai une tranche de brioche, me préparai un café et vins m’asseoir sur le coussin d’une de mes chaises de cuisine. Elle avait toujours son regard lubrique et amusé. — Ils sont waterproof, tes coussins ? J’avoue ...
    ... que je ne m’étais jamais posé la question. En fait, je n’avais jamais été aussi lubrifiée, et s’il y avait eu des précédents, ils avaient eu lieu surtout dans la baignoire… Ma baignoire, c’est mon haut lieu du plaisir, mon environnement masturbatoire, peut-être plus que mon lit, d’ailleurs. Je la regardai alors avec ce que je pouvais de malice et d’envie pour lui dire : — C’est pour que tu puisses avoir mon parfum, mon goût avec toi… Ce sera ton doudou.— Alors je vais m’asseoir aussi… Je te prépare ton doudou aussi ! On éclata de rire en même temps, mais les coussins, eux, ont certainement eu beaucoup de boulot pour éponger nos sexes à cet instant. Il y eut un moment de silence, presque trente secondes, durant lesquelles nous avons enfin mangé un peu… Mais la situation était tellement incongrue que nous avons commencé à glousser en nous regardant : deux filles à poil en train de faire un pseudo petit déjeuner en début d’après-midi. Le soleil illuminait très agréablement la pièce, et je commençai à détailler un peu plus mon Isabelle, maintenant qu’un cessez-le-feu sexuel était établi. Sa peau était très belle, lisse, d’une jolie couleur pâle. Elle avait une très légère marque de bronzage au niveau des hanches. Je l’imaginai alors vêtue d’un petit bikini. Pas de trace au niveau de ses seins… Ahhh, ses seins… qu’ils étaient beaux ! Pas trop petits, biens formés, bien ronds, fermes, mais pas trop. — J’aime quand tu me regardes comme ça, me dit-elle en me sortant de ma rêverie ...
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