1. Dimanche salé-sucré


    Datte: 02/06/2021, Catégories: ff, fépilée, Oral init,

    ... exploratoire. Je la regardais sans honte, sans scrupule. C’était plaisant, grisant, et même excitant. — J’aime beaucoup tes seins, tes jambes… J’aime beaucoup tout ton corps, en fait ! Ce coup-ci, c’est elle qui rougit en baissant les yeux. — Ton regard me fait beaucoup d’effet, tu sais ? Elle se mordit la lèvre en me disant ça, comme si elle se retenait de me sauter dessus. — C’est pour mon doudou que tu dis ça ? Son sourire était tendre. Elle avait incliné sa tête légèrement sur son épaule. Sa main droite avait disparu de la table et réapparut un instant plus tard, deux des doigts luisants. Je les imaginais glissants, caressant et étalant ces plaisirs avoués entre mes jambes, les mélangeant aux miens. Il était vraiment temps de finir de manger le solide, j’avais tellement envie de laisser aller ma langue et ma bouche à sa source… Elle leva sa tasse et but son café d’un trait. J’en fis de même, de peur d’être en retard pour je ne sais quoi… Je ne voulais pas la laisser seule à attendre je ne sais quoi. Et j’avais surtout envie de profiter d’elle, maintenant que nous avions toutes deux autre chose dans le ventre que de la jouissance. Je me levai d’un bond et lançai : — Allez, hop ! Lessive ! Elle se leva dans la foulée et me suivit jusque dans la salle de bain. Je ramassai nos culottes et, avec un sourire complice, les lui lançai en prétendant être désolée : — Elles sont sèches ! Je fis un signe de la tête comme pour dire que c’était mort et qu’il n’y avait plus rien à faire. ...
    ... Elle me répondit avec un air horrifié tellement surjoué que je faillis éclater de rire : — Mon Dieu ! Que va-t-on faire ? Tu crois que si on s’y met vraiment, on peut les remouiller ?— Je ne sais pas ce que cela peut donner ! C’était le chef du service réanimation des culottes qui parlait maintenant. — Je pense qu’il va falloir s’y mettre sérieusement ; il y a de l’espoir pour celles-ci, mais aussi pour toutes les culottes de mon tiroir ! Elle s’était rapprochée de moi, comme quelqu’un à qui on annonçait la guérison d’un proche, toujours ouvertement surjoué : — Merci, Docteur. Et, me prenant les mains, elle continua : — Je suis si fière de vous. Après vous avoir serré la main, je vous boufferai la chatte ! J’éclatai de rire, outrée par ce langage ; mais il était tellement décalé à ce moment que c’en était drôle ! Elle rit elle aussi, visiblement contente de son effet ! Je lui fis les gros yeux, parce qu’on ne parlait pas comme ça chez moi… Mais en même temps, j’étais quand même bien tentée par sa proposition ! Je n’avais pourtant pas oublié sa petite phrase : « Il n’y a qu’une seule chose qui pourrait me rendre encore plus folle de toi. » Je récupérai mes sous-vêtements dans le bac à linge et les plaçai dans le tambour de la machine, en jetant un coup d’œil à Isabelle à chaque fois. Et chaque fois elle regarda la dentelle, ou le coton de chaque pièce, tantôt culotte, tantôt soutien-gorge, et me rendit un petit avis de la tête : "bien", "très bien", "je m’en lèche les babines ...
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