1. Dimanche salé-sucré


    Datte: 02/06/2021, Catégories: ff, fépilée, Oral init,

    ... acheva de me convaincre de l’urgence de désherber mon pubis. — Qu’est-ce que tu as comme outils ? me demanda-t-elle avec un pragmatisme et un manque de romantisme désarmant.— Je dois avoir un rasoir à cinq lames, de la crème dépilatoire pour le maillot, un épilateur électrique, des ciseaux, des couteaux de boucher, des allumettes et des bougies, si tu veux le faire à la cire.— Très drôle, Mademoiselle Charlotte… Les bougies et les allumettes, ce sera pour ce soir : on pourra faire l’amour aux chandelles ! Sinon pour tes poils, il va y avoir deux approches : soit le rasoir, c’est super érotique sur le coup, on étale de la mousse, la lame glisse sur ta peau, on nettoie au fur et à mesure avec les doigts, en caressant un peu. Je mordillais ma lèvre pendant qu’elle me disait cela, d’autant qu’elle ne ménageait pas ses efforts pour rendre son descriptif excitant, affolant : sa voix suave, douce, son regard gourmand qui oscillait entre mes yeux et mon sexe, ses lèvres laissant apparaître sa langue volontairement provocatrice. — Mais le problème du rasage, c’est que ça repousse vite, et ça gratte assez rapidement, autant toi que moi… et je n’ai pas envie de lécher du papier de verre !— Crème dépilatoire alors ?— La crème n’a rien d’érotique ; c’est du chimique, c’est dangereux. En tout cas, c’est ce que je pense. Mais après, c’est beaucoup plus doux plus longtemps…— Allons-y pour la crème, lui dis-je alors. J’entrai dans la baignoire et essayai de sécher au maximum mon sexe qui ...
    ... avait tendance à se laisser aller ces derniers temps. — Ton épilateur, il fait aussi tondeuse ?— Oui, pourquoi ?— On va raccourcir tout ça, pour que la crème ne fasse que l’essentiel. Je me relevai et récupérai l’appareil, bien enveloppé dans son sac, preuve qu’il ne fonctionnait pas si souvent. Après avoir mis en place la tondeuse, vérifié que l’autonomie serait suffisante, Isabelle prit une serviette, la posa au sol et me demanda de m’allonger dessus, jambes écartées. Comme elle était armée de mon épilateur, je ne pouvais pas lui désobéir. — Oui Madame, je m’allonge, ne me faites pas de mal. Elle éclata de rire, me regarda ressortir de la baignoire et m’installer, toujours avec cette douceur et ce désir amoureux dans les yeux qui me faisaient tant de bien au moral et entre les cuisses. — Pas de problème, je ne ferai pas mal… Au contraire, on va essayer de se faire le maximum de bien. Et elle termina ces mots par un frustrant bisou dans le vide. Elle s’agenouilla devant moi, entre mes jambes, et regarda mon sexe ; elle l’explorait du regard, et je vis du plaisir dans ses yeux, du désir même. Enfin elle tendit une main qu’elle posa sur mon ventre. Elle caressa un peu ma peau et descendit vers mes poils. Elle les effleura, glissa ses doigts entre eux, toucha mon pubis. Elle descendit un doigt sur le pli entre ma cuisse et mon sexe et remonta de l’autre côté par le même chemin. Je fermai les yeux et finis d’ouvrir mes jambes pour lui offrir mon sexe. Le bruit de l’épilateur se ...
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