Dimanche salé-sucré
Datte: 02/06/2021,
Catégories:
ff,
fépilée,
Oral
init,
... nez contre le mien, avec sa respiration à peine audible. Ses mains vinrent se poser sur mes hanches, sans pression, toujours avec cette délicatesse dans ses gestes. Je me retrouvai à nouveau en route pour le paradis, embrassant un ange, tentant d’apprivoiser ces lèvres qui voletaient au-dessus des miennes. Ses mains s’aventurèrent maintenant sur mes fesses, et je savourai le retour de sa langue dans ma bouche, lui proposant la compagnie de la mienne. Nos respirations se mêlaient, s’accéléraient. Ses lèvres s’étaient maintenant posées sur les miennes pour un contact plus fort, plus intense. Nos seins se retrouvèrent aussi, même si les mamelons ne pouvaient jouer ensemble ; je sentis la courbure de sa poitrine juste au-dessus de la mienne. Je fermai les yeux en sentant sa peau contre mes tétons, en sentant les siens se durcir contre moi, en caressant encore lentement sa langue avec la mienne dans un ballet de douceur et de sensualité. Nos corps étaient l’un contre l’autre, peau contre peau. Je sentis sa chaleur, sa douceur contre moi. Je posai enfin mes mains sur ses fesses pour lui rendre sa caresse. Elle gémit doucement à ce contact et retira ses lèvres des miennes pour les poser dans mon cou, sous mon oreille, puis petit à petit descendre jusqu’à mon épaule. Je recommençai à respirer plus profondément en appréciant l’intensité de ces baisers. Je me sentis à nouveau humide, tendue, excitée. Pendant qu’elle m’enflammait de ses lèvres, je massais doucement ses fesses. Elles ...
... étaient douces, fermes. Elles remplissaient mes mains à la perfection, comme si elles avaient été faites pour moi, comme si mes mains étaient destinées à les prendre ou les caresser. Isabelle se mit à genoux, et pendant sa descente laissa glisser sa langue de mon épaule à mon sein gauche, qu’elle suça rapidement pour reprendre sa descente vers mon ventre, mon nombril. Elle avait maintenant son visage face à ma toison, à quelques centimètres de mon sexe qui attendait qu’on l’embrasse comme l’avaient fait nos bouches quelques instants avant. Elle regarda avec passion mon pubis, puis avança enfin ses lèvres ; son baiser se perdit dans mes poils. Elle recula un peu, me jeta un regard enflammé et, à ma plus grande frustration, déclara : — Allez ! Bye-bye les poils ! Je voulais ses lèvres sur mon sexe, sa langue sur mes chairs, dans mes chairs ; je voulais qu’elle me viole, qu’elle me lèche, qu’elle me boive, qu’elle vienne en moi ! Je la désirais au plus haut point et elle se relevait, le sourire aux lèvres, sans m’avoir touchée ! Juste un petit baiser sur mon pubis. — J’ai tellement envie de toi… Ma déception s’entendait autant dans ma voix que dans ma respiration qui n’avait rien de calme. — Moi aussi, mais je vais t’aider à retirer tes poils ; ce sera très excitant aussi… et je pense qu’on aura notre récompense juste après. De toute façon, je ne pourrai pas tenir bien longtemps à te tripoter sans rien te faire ou sans rien me faire… Et elle ajouta un clin d’œil prometteur qui ...