Dimanche salé-sucré
Datte: 02/06/2021,
Catégories:
ff,
fépilée,
Oral
init,
... s’écraser sur moi. Elle entreprit de libérer mon vagin, avec sa délicatesse habituelle. Elle posa ensuite un baiser sur mon périnée, laissa traîner une langue gourmande entre mes chairs, près de mon vagin, et remonta vers mon visage. Je devinais qu’elle avait fait le plein de cyprine. Elle le confirma dans un lent baiser, durant lequel nos lèvres se sont retrouvées, nos langues se lovant l’une contre l’autre, comme pour mieux partager mon nectar. Le soleil commençait à descendre et la luminosité baissait peu à peu dans la chambre. Isabelle se colla contre moi ; ses seins, rencontrant les miens, me redonnèrent envie de son corps. Nos lèvres se séparèrent enfin et je me plongeai dans ses yeux. — C’est juste parce que je n’ai plus de poils que je jouis comme ça ? Elle gloussa en acceptant la plaisanterie. — Oui, bien sûr… C’est très connu : moins t’as de poils, plus tu jouis ! D’ailleurs, je vais m’épiler les cheveux.— Gourmande ! T’en veux toujours plus ! Je lui donnai un rapide baiser avant de reprendre : — Tu m’as fait jouir trois fois : c’est une première pour moi. Et si je t’avais laissée faire…— J’aurais encore tes cuisses autour de mon cou, et tu commencerais à avoir des ampoules sur le clito ! Elle était radieuse, fraîche. Son visage était un pur bonheur à regarder. À chacune de ses inspirations, je sentais ses tétons contre les miens. Je me doutais qu’elle avait besoin elle aussi de libérer la tension qui était en elle depuis le début de l’après-midi. Je me levai ...
... et me dirigeai vers mon tiroir à jouets. Je pris monsieur Rose et un rabbit d’une grande marque suédoise, rose lui aussi. Je levai mes jouets pour qu’elle en choisisse un, mais elle me regarda, fit un lent "non" de la tête et, toujours en silence, pointa son doigt vers moi et retourna sa main en m’indiquant de la rejoindre. J’étais déçue : je pensais que ça l’amuserait de retrouver mes sextoys, de jouer avec, comme je prenais moi-même du plaisir lorsque j’étais seule. — On n’en a pas besoin : tu es là, tu seras suffisante… On jouera avec plus tard. Pour le moment, je ne veux que toi ! Alors ça, pour une déclaration ! J’ai dû devenir rouge pivoine, pensant avoir fait une méga gaffe. Mais Isabelle me fit un sourire gourmand m’indiquant qu’elle me voulait maintenant. Je retournai sur le lit, face à elle, pendant qu’elle reprenait une position des plus suggestives, cuisses ouvertes, et deux doigts ouvrant son sexe. — J’aime faire beaucoup de choses, mais je ne sais pas encore ce que toi tu aimes ; alors je vais te guider, et tu me diras si tu aimes me le faire, et si tu penses que je pourrais les faire avec toi… J’étais surprise ; je ne m’attendais pas à ce genre d’avertissement. — C’est pas "bizarre", au moins ?— Non, ça n’a rien de "bizarre". Regarde. Elle remonta ses cuisses contre sa poitrine, faisant encore mieux ressortir son sexe. Elle tenait ses jambes contre elle ; j’approchai mon visage pour mieux profiter de la vue. Ses grandes lèvres charnues, à peine ouvertes mais ...