1. Dimanche salé-sucré


    Datte: 02/06/2021, Catégories: ff, fépilée, Oral init,

    ... légèrement tendues par la position étaient encore plus érotiques, appétissantes. Je découvris aussi en dessous son petit trou, lui aussi dépourvu de poils. J’étais surprise par cette étrange séance de gym, et malgré cela je ne pouvais détourner le regard, plongeant, dévorant par avance cette vulve lisse. — Tu as déjà glissé un doigt dans ton cul ? me demanda-t-elle crûment.— Euhh… oui, ça m’est arrivé. Et pas qu’un doigt, me sentis-je obligée d’avouer. J’ai eu des petits copains qui voulaient passer par là…— Et tu as aimé ça ? Elle essayait de capter mon regard, mais j’étais maintenant focalisée sur son anus, ce petit trou brun clair. — Bah…— Bon, ne parlons plus de tes petits copains. Son ton était doux, presque maternel, rassurant. — Quand tu te caresses, est-ce que tu aimes glisser un doigt, ou plus, dans ton anus ? La question était déjà plus facile à répondre. Je n’avais jamais vraiment éprouvé autre chose que de la douleur lors des quelques sodomies subies. Ce n’était pourtant pas faute de délicatesse ou de préparation. Mais, non j’avais eu mal, et je n’avais pas spécialement trouvé de plaisir dans ces pénétrations. Mais il est vrai que j’aimais me caresser le petit trou, y enfoncer un doigt, pas forcément loin, mais juste ouvrir, repartir, en plus des autres caresses. Oui, c’était assez agréable. — Euh… oui. Mais je fais ça plutôt seule. C’était idiot, mais autant je n’éprouvais plus de honte à avoir envie qu’elle colle sa langue entre mes cuisses, autant discuter ...
    ... pénétration anale me semblait intime, presque tabou ! Elle s’amusa de mon accès de pudeur. Elle ne tenait plus ses jambes qu’avec un seul bras. Sa main libre venait de se poser sur son sexe. Étant aux premières loges, j’eus le souffle coupé par la beauté du spectacle. Elle releva un tout petit peu sa main et tendit son majeur. Il était gracieux, fin, et sans plus attendre elle commença à le faire entrer en elle. Ses lèvres libérèrent un petit passage. Sa main descendait de plus en plus vers sa vulve alors que son doigt la pénétrait, phalange après phalange. Le spectacle était ravissant, étonnant. Ma respiration était à nouveau saccadée, je me sentais excitée. Je poussai un petit cri lorsque mon propre majeur fut tout au fond de mon vagin. Je ne m’étais pas rendu compte que mon excitation était si forte, que j’avais besoin de plus. Ma main répondait à mon besoin naturel, ce besoin de jouir de cette vue, de la beauté de ce geste. Je sentais ma paume contre mon pubis, lisse depuis peu de temps. Et la sensation était effectivement très agréable, mais la vue de son doigt qui maintenant ressortait de son sexe était encore plus délicieuse. Son majeur était maintenant libre, si féminin pour servir de phallus. Il était luisant. Elle le descendit un peu et le posa avec douceur sur son anus, qui réagit en se contractant. La pulpe de son doigt effleurait ce petit anneau de chair, le lubrifiant délicatement. Isabelle décrivait de tous petits cercles sur le pourtour de son trou, revenant de ...
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