Dimanche salé-sucré
Datte: 02/06/2021,
Catégories:
ff,
fépilée,
Oral
init,
... plaisir à même son sexe. J’avais envie de me perdre dans ses chairs, de les frôler, de les embrasser, de les lécher. J’avais envie d’être entre ses cuisses, d’être en elle, d’être à elle. Je me mis à genoux et me déplaçai pour arriver entre ses cuisses. Pendant ce temps, elle se prépara une position confortable, les oreillers bien en place derrière elle. — De quoi as-tu envie ? me demanda-t-elle— Je ne sais pas ; je crois que je vais commencer par des petits baisers un peu partout.— N’oublie pas l’intérieur des cuisses ; appuie avec tes lèvres, sinon ça me chatouille et ça me distrait. N’aie pas peur du contact.— OK, tu me guideras si tu veux. Je sais ce qui me fait plaisir, mais je ne sais pas si c’est pareil pour toi.— Fais-toi plaisir, me répondit-elle. Découvre mon corps avec tes yeux, avec ta bouche, avec tes doigts ; je suis à toi. Je te l’ai dit hier : le seul risque que l’on prend, c’est de jouir des caresses de l’autre. Elle écarta encore un peu ses cuisses, étendit ses bras au-dessus d’elle et me souffla : — Laisse-toi aller. Sur cette invitation, je m’approchai de son pubis, y posai un doigt, puis deux, et entamai de redécouvrir cette terre de jouissance. Mes doigts caressèrent sa peau si lisse, si douce, et lorsqu’ils libérèrent l’espace, je plaçai de petits baisers, que j’essayai de rendre le plus doux possible. J’étais lancée ; mes lèvres épousèrent ce mont de Vénus si désirable, si attirant. Rien pour empêcher le contact de ma bouche sur sa peau, cette absence ...
... complète de poils était fascinante, et tellement agréable sur mes lèvres. Je glissai parfois ma langue pour découvrir le goût de sa peau, et chaque fois qu’elle caressa son pubis, j’entendis la respiration d’Isabelle devenir plus profonde, plus intense. Je sentis son ventre se lever, se durcir, se relâcher. Je continuais à apprendre son corps. Je léchai maintenant un peu plus près de ses cuisses, et terminai la caresse en refermant ma bouche en un baiser que j’essayai de rendre sensuel. Je sentis la chaleur de ma respiration contre sa peau. Par moments, je sentis la chair de poule sur sa cuisse. Je savais que j’étais sur le bon chemin. Le fruit était déjà mûr, et je commençai à sentir son parfum, son odeur si particulière. Je continuai à laisser vagabonder ma langue et la laissai descendre dans le creux de sa cuisse. La respiration d’Isabelle cessa immédiatement, son ventre se contracta. Je posai mes lèvres sur cette peau sensible et les refermai en une caresse charnelle. Sa peau était si douce. Et maintenant que mon visage était proche de cette vulve, je respirais son odeur, je sentais le parfum du plaisir d’une autre femme. Je commençais à sentir mon sexe chauffer lui aussi ; je savais que j’étais humide, peut-être même plus, et c’est ce sexe qui m’enivrait. Je n’y tenais plus ; il fallait que je progresse encore vers elle, vers ses replis les plus secrets. Je posai mes lèvres entrouvertes sur le pourtour de sa vulve, en essayant de ne pas oublier un seul grain de peau, en ...