1. Dimanche salé-sucré


    Datte: 02/06/2021, Catégories: ff, fépilée, Oral init,

    ... essayant d’épouser chaque millimètre, de transmettre mon désir à cette peau si intime. Isabelle avait maintenant une respiration saccadée. Ses cuisses étaient ouvertes en grand et mes baisers pouvaient passer d’une cuisse à l’autre, en cheminant tout autour de sa vulve offerte. Une fleur ouverte avec un pistil que je mourais d’envie de retrouver. Ma bouche jouait au papillon, butinant cette vulve lisse. Après m’être posée et repartie, je risquai une langue curieuse au cœur de cette fleur. Les petites lèvres de son sexe la laissèrent passer, et ma gourmandise fut récompensée. Je récoltai ce précieux nectar, le jus de ce fruit secret. Je goûtai, volontairement et avec envie, le plaisir d’Isabelle, sa mouille. J’avais en bouche le plus merveilleux élixir d’amour. Le contact de ma langue sur son sexe avait foudroyé mon amante. Elle soufflait des "oui" qui ne pouvaient que m’inciter à continuer. Je replaçai ma langue en bas de son sexe et la remontai vers l’intérieur pour en boire la plus infime goutte. J’en fermai les yeux. Son parfum, son odeur, la douceur et le soyeux de son sexe sur ma langue, mes lèvres glissant en même temps le long des siennes, entre ses cuisses, le goût de son plaisir, tout était érotique, excitant ; j’avais envie de jouir moi-même des caresses que ma bouche offrait à ce sexe. Je fis remonter ma langue vers ce pistil. Isabelle n’était déjà plus loin de m’offrir son premier orgasme. Je posai ma langue et sentis cette petite chose dure sous ma langue. ...
    ... Comme hier soir. J’appuyai ma langue pour le sentir encore plus. Isabelle inspirait rarement et n’expirait plus qu’avec de longs râles, intenses, encore plus excitants. Je repris mon cheminement, du bas de sa vulve, avec ma langue, retrouvant son nectar ; j’en étais tremblante, je vivais sa montée vers l’extase. En haut de son sexe, ma langue s’écrasait enfin sur ce clitoris, libérant à chaque fois un nouveau râle. Je me sentis inondée moi aussi et j’avais terriblement envie de me soulager, mais j’avais encore plus envie de finir mon petit déjeuner. Je laissai ma langue sur ce bouton, l’écrasant, l’encerclant ensuite, laissant mes lèvres luisantes de plaisir embrasser ce que je pouvais de sa vulve. Isabelle poussa maintenant des cris, qu’elle sembla essayer d’étouffer au maximum. J’accentuai alors mes caresses sur son clitoris. Son ventre se contractait maintenant régulièrement, ses cuisses ne semblaient plus répondre à un quelconque contrôle. Je buvais son corps, j’étais au plus intime de son corps, je léchais, encore et encore, ce sexe si beau, si doux, si agréable. Et elle jouit, fort, intensément. Son ventre était dur, ses cuisses étaient chaudes et trempées, son sexe débordait de plaisir. Je ne pus m’empêcher de boire, et de boire encore cette jouissance. Elle était pour moi. Je continuais à lécher, et Isabelle me murmura entre deux halètements : — Ne t’arrête surtout pas, c’est trop bon. Tu peux utiliser tes doigts, viens en moi. J’avais entendu le message. Mais je n’étais ...
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