La jeune agricultrice « Label Rouge »
Datte: 03/06/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
campagne,
hotel,
fête,
voyage,
douche,
intermast,
Oral
pénétratio,
champagne,
humour,
... spectacle formidable. Mélanie se met à bouger tout le bas de son ventre avec une fougue que ma main a du mal à suivre. J’ai comme l’impression qu’elle fait l’amour à un être invisible qui serait installé sous elle. — Continue, Philippe, continue… C’est trop bon… n’arrête-pas, me dit-elle en râlant fortement.— Moins fort, s’il te plaît, moins fort ! dois-je lui répondre en retour. Je ne voudrais pas que tout l’hôtel soit au courant.— Je m’en fous, de l’hôtel ; continue… Allongé à côté d’elle, je passe mon bras sous son ventre pour la serrer au maximum. J’adore observer un visage quand le regard devient fuyant. Avec des femmes plus âgées, je ralentis volontairement mes caresses pour retarder l’apparition du bouquet final. Avec Mélanie, je renonce à le faire. Je ne suis pas certain qu’elle maîtrise suffisamment son corps pour apprécier des débuts de frustrations suivis très rapidement d’un redémarrage d’excitation. Le moment tant attendu arrive : un orgasme très fort mais de courte durée, suivi de suite après par de nombreuses contractions plus modestes au niveau du bas de son ventre. Le spectacle est des plus sympathiques à observer. La respiration de Mélanie reste très saccadée, ponctuée de quelques râles bien sonores. Les voisins doivent s’en rincer l’oreille s’ils se trouvent déjà dans leur chambre. Le dernier soupir et la dernière contraction passés, Mélanie se tourne sur le côté et me sourit sans rien dire. Elle fait partie des personnes qui partent vite et qui ...
... reprennent encore plus vite leurs esprits. Dans cette nouvelle position, je trouve ses fesses encore plus arrogantes. Je me redresse à côté d’elle et lui donne une vigoureuse claque au milieu de sa partie charnue. Mélanie pousse un petit « Aïe » très raisonnable et me demande : — Tu donnes souvent des claques comme ça à tes copines ?— Oui, quand elles oublient de dire merci.— Mais merci pour quoi, s’étonne Mélanie ?— Tout simplement pour le plaisir que je viens de te donner.— Mais on ne me jamais demandé ça avant.— Et pourtant ça se passe toujours comme ça, avec un ex-étudiant en sciences.— Ah bon ! Eh bien merci, Philippe, déclare Mélanie très crédule. J’ai adoré. À ton tour de t’allonger. Je me saisis des deux gros coussins qui sont sur le lit et je les dispose sous ma tête. J’adore cette position où je suis à la fois presque allongé et où je peux tout observer sans avoir à faire d’efforts. — Donc, tu vas t’occuper de moi, lui dis-je avec une ironie non dissimulée.— Ne t’inquiète pas, j’assume ! me répond-elle sur un ton très déterminé. Cette dernière affirmation me fait sourire. J’apprécie énormément l’écart qu’il peut y avoir entre les mots prononcés par Mélanie et le ton sur lequel elle les prononce. Mélanie se glisse vers le bas de mon ventre. Sa bouche se penche vers mon sexe et lui donne un rapide coup de langue, un peu comme si mon sexe était une belle glace à l’italienne. Je laisse faire, mais je ne peux pas agir. En effet son corps est trop éloigné de mes mains pour que je ...