1. La jeune agricultrice « Label Rouge »


    Datte: 03/06/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, campagne, hotel, fête, voyage, douche, intermast, Oral pénétratio, champagne, humour,

    ... puisse les laisser vagabonder là où bon leur semble. C’est pourquoi je lui demande gentiment : — Mélanie, remonte-toi un petit peu pour que je puisse faire quelque chose de mes mains.— Mais comment ? me demande-t-elle, étonnée.— Tout simplement en te mettant de travers ; le lit est assez grand. Mélanie s’exécute. Dans cette position, je me laisse complètement faire. J’ai un accès complet à ses fesses, à ses cuisses et à sa chatte. En faufilant une de mes mains, je pourrais même avoir accès à l’un de ses seins, mais ce n’est pas ma préoccupation du moment. Va-t-elle me faire jouir avec sa bouche ou avec ses mains, ou avec un peu des deux à la fois ? La réponse ne saurait attendre très longtemps, compte tenu de mon état d’excitation. Ma main « prend son pied » avec les fesses rondes, fraîches et fermes de Mélanie. Moi, le non expérimenté avec les post-ados, je suis en train de revenir sur ma position. À la technique des quadras et à l’expertise des quinquas s’oppose la fraîcheur d’une première de la classe qui, à défaut d’expérience, m’offre toute sa jeunesse, sa sincérité et sa naïveté. Bien que n’ayant pas encore trente ans, je suis heureux de pouvoir lui offrir les quelques années de pratique dont j’ai déjà pu bénéficier. Alors qu’avec une femme dans la force de l’âge je me serais laissé partir sans problème bien au chaud dans sa bouche, avec Mélanie j’ai repoussé délicatement sa tête sur le côté et je me suis répandu sur mon ventre. Elle s’est laissé faire et a pu ainsi ...
    ... contempler avec une satisfaction non dissimulée le fruit de son labeur. Une fois ces premiers travaux manuels complètement terminés, un mix des fameuxblowjobs ethandjobs de nos amis anglo-saxons, Mélanie s’assied en tailleur à côté de moi et me lance, le sourire en coin : — Et toi, tu ne me dis pas merci ?— Bien sûr que si, Miss « Label Rouge » : c’était formidable, lui dis-je en lui donnant une claque bien flanquée sur le dessus de la cuisse.— Mon copain aimait beaucoup ce que je viens de te faire.— C’est normal, c’était sûrement un homme de goût. Je trouve touchant que Mélanie me parle ainsi de son copain. Je la regarde assise à côté de moi : son dos est très droit et ses seins pointent droit devant, à l’équerre, avec impertinence. Je peux les prendre à pleines mains. Ils sont doux et fermes à la fois. Je laisse vagabonder mon esprit quand tout à coup je prends conscience que l’heure tourne beaucoup plus vite que souhaité. Quitter Mélanie dans une heure environ est une véritable catastrophe. On a eu à peine le temps de commencer les hostilités qu’il faudrait déjà songer à partir. C’est pourquoi je prends les devants et lui demande : — Au fait, tu es obligée de rentrer ce soir chez toi ?— Non, puisque je suis majeure, me répond-elle très sûre d’elle.— Tes parents ne vont pas s’inquiéter ?— Non, parce que j’habite une chambre en dehors de la ferme, juste au-dessus du hangar à tracteurs… Par contre, il faut que je sois rentrée tôt, m’affirme-t-elle.— C’est-à-dire ?— Vers huit ...
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