1. Le choc


    Datte: 03/06/2021, Catégories: fh, extracon, fête, fsoumise, Oral pénétratio, fdanus, confession, extraconj,

    — J’ai une de ces envies d’y aller… fis-je d’un ton où le sarcasme était évident.— Arrête Armand ! C’est toujours la même chose avec toi : tu te plains et rechignes à aller aux fêtes de tes amis, mais une fois que tu y es, tu t’amuses vraiment.— Je sais, mais ce soir je sens que cela va être une soirée pénible ! Je ne la sens pas…— Eh bien moi, je la sens, comme tu dis… Moi j’irai, avec ou sans toi ! Et puis à la fin, René est ton ami. Ce n’est pas parce que tu n’as rien fait pour ton anniversaire que tu dois boycotter le sien. Elle avait raison, et je le savais. Bien que René ne soit pas un de mes meilleurs amis, il en était un bon. Il fallait que j’y aille… envie ou pas. Je rejoignis donc ma femme, Suzanne, dans la salle de bain où elle finissait de sécher ses cheveux courts. Suzanne venait d’avoir quarante ans et, ma foi, les portait assez bien. Nous habitions ensemble depuis un peu plus de vingt ans, et nous nous étions mariés il y a de cela treize ans, juste avant la venue au monde de notre premier fils. Brune avec de magnifiques yeux verts, Suzanne portait comme moi des lunettes sages. Elle n’avait jamais été un canon de beauté, mais quand je regardais les femmes de son âge, elle soutenait à vrai dire parfaitement la comparaison. Elle avait de petits seins et des hanches avec juste l’ampleur nécessaire pour combler son mari de quarante-cinq ans. Elle ne s’habillait que d’une manière toujours sérieuse, privilégiant les pantalons. Elle n’était pas folle pour les ...
    ... fringues, mais appréciait de temps à autres de s’offrir (ou mieux de me laisser lui offrir) des vêtements luxueux. Ce soir, et sachant que nombre de nos amis seraient présents, elle n’avait préparé sur notre lit qu’un T-shirt blanc et une paire de pantalons mauves. Au pied du lit, étaient placées des sandalettes blanches avec des talons mi-hauts. « Pas pratique pour danser », pensai-je en les regardant. Mais sachant que Suzanne n’était pas une grande danseuse (ce qui m’allait bien, car moi non plus…), je me gardai bien de lui faire une quelconque remarque. Ses sous-vêtements étaient tout (mais absolument tout) ce qu’il y a de plus sage. Elle privilégiait le confort, malgré mes griefs moqueurs et incessants. Elle portait des slips généralement blancs assez larges. Je les appelais les slips de ma vielle bonne-femme ; et il y avait du vrai dans cette moquerie. J’avais l’impression que même ma propre mère, n’avait jamais porté de tels sous-vêtements. Suzanne avait pourtant quelques strings bien cachés au fond de son armoire, mais ne les portait que lors de très rares occasions et seulement pour me faire un grand plaisir. Ses soutiens-gorge étaient normalement d’un type sans fermeture, que l’on enfile simplement. Ici aussi le blanc dominait, et naturellement pas la moindre échancrure… Ses chaussures étaient également assez sages, privilégiant le modèle presque sans talon et la couleur noire. — Et puis pour une fois que les petits anges dorment chez mes parents… La voix de Suzanne me ...
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