Le choc
Datte: 03/06/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
fête,
fsoumise,
Oral
pénétratio,
fdanus,
confession,
extraconj,
... promesse, il investit leurs dernières économies sur des titres douteux… et perdit la mise. Profondément blessée, Nicole le laissa du jour au lendemain. Heureusement pour elle, son très bon salaire de médecin lui permettait une totale indépendance financière. Mais paradoxalement, ils ne changèrent pas d’appartement. En fait, leur duplex, qu’ils possédaient en commun, pouvait en effet servir pour deux personnes séparées. L’étage supérieur réservé à Nicole et celui inférieur à René. Comme les deux étages étaient directement reliés à un ascenseur intérieur et s’ouvrant qu’avec clef, l’escalier reliant les deux niveaux avait été condamné symboliquement. Il n’avait fallu changer qu’une des deux clefs d’accès de l’ascenseur. C’était dans cet appartement que nous nous rendions ce soir, plus précisément dans la partie inférieure, appartenant à René. Le déplacement en voiture se fit dans un silence glacial. J’étais d’un caractère assez rancunier et ne voulait pas être le premier à casser la glace. Suzanne n’aimait pas les petites crises, mais quand elle considérait que j’avais tort, elle pouvait avoir une langue de vipère. Je préférais donc me taire. Nous arrivâmes trois quarts d’heure en retard. Le contrôle de l’accès direct par ascenseur avait été, pour l’occasion, déverrouillé, ce qui permettait de rentrer directement dans l’appartement sans clefs. La fête battait déjà son plein. Mon seul intérêt était de revoir quelques amis et Nicole. Celle-ci nous accueillit chaleureusement, ...
... comme René du reste. Il m’embrassa et fit de même avec ma femme qu’il complimenta pour sa tenue. Avant d’avoir pu me demander s’il blaguait, mes autres amis m’appelèrent. Je ne me fis pas prier, et abandonnai ma femme, Nicole et René. Je passai une bonne partie de la soirée à rire avec Nicolas, mon meilleur ami que je n’avais pas vu depuis quelques mois. Je bus plus que nécessaire, malgré les récriminations de ma femme qui passa quelques fois pour me rappeler que je devais plus tard conduire. Je lui promis que nous prendrions un taxi si elle ne se sentait pas de conduire. Sur ce, ma femme ne se fit plus voir pour le reste de la soirée, et pensant qu’elle devait se raconter mille choses avec les femmes de mes amis, je n’en pris pas ombrage. Je devins perplexe quand Nicole me demanda si j’avais vu Suzanne. Je lui répondis qu’elle devait être avec les autres femmes, mais elle me dit simplement qu’il ne lui semblait pas l’avoir vue. Il devait y avoir une quarantaine d’invités dans le grand appartement, et elle me rassura en me disant que sûrement elle ne l’avait pas vue au milieu de la foule ; et elle me promit de la trouver. Un quart d’heure plus tard, Nicole me prit le bras et me dit à voix basse de la suivre. — Plus tard, s’il te plait !— Non… maintenant, Armand, me répondit-elle d’un ton ferme à l’oreille. Intrigué, je me levai machinalement et la suivis. Elle m’amena vers l’ascenseur interne, ce qui m’étonna, mais je préférai ne rien dire jusqu’au moment au nous serions seuls. ...