1. Le choc


    Datte: 03/06/2021, Catégories: fh, extracon, fête, fsoumise, Oral pénétratio, fdanus, confession, extraconj,

    ... devant pratiquement tous tes amis, et tu n’es pas capable d’arrêter cette horreur… » Je n’en pouvais plus ; j’eus juste le temps de m’agenouiller devant la lunette des WC avant de vomir toutes mes entrailles. — Ça va Armand ? Armand… ? Allez reprends-toi ! Viens, je vais t’aider. Mon pauvre chou, ne pense plus à cette garce… Elle m’aida à me relever. Elle humecta d’eau froide une lavette et me la passa délicatement sur le visage. Elle répéta l’opération plusieurs fois, ce qui me fit du bien. Mon visage reprit légèrement des couleurs. Elle me prit affectueusement dans ses bras et sembla réaliser pour la première fois tout le mal qui me rongeait. Elle me couvrit la joue de petits bisous. Sa voie sembla se briser dans des débuts de pleurs. — Je m’excuse de t’avoir fait voir cela. Je suis toujours aussi insensible avec toi. Si j’avais su…— Tu n’y es pour rien, Nicole. Ce n’est qu’eux les coupables… T’inquiète pas, je vais gérer la chose… Je lui mentais, comme je le faisais à moi-même. Je ne savais pas ce que j’allais bien faire. Je n’étais occupé qu’à survivre les prochaines minutes. Elle me prêta une brosse-à-dents et du dentifrice pour rafraîchir mon haleine, et quand j’en eus terminé, elle m’inspecta soigneusement le visage. — Comme les deux sur la terrasse… lui dis-je avec un sourire forcé. Elle me rendit mon sourire et me prit la main. Nous descendîmes, comme nous étions montés, en empruntant l’ascenseur Quand nous entrâmes dans l’appartement à l’étage inférieur, la fête ...
    ... semblait encore battre son plein. La musique était, à intervalles réguliers, couverte par de gros rires. — Mais qu’est-ce que je vais bien faire ? me surpris-je à me demander intérieurement. Ma première pensée était d’espérer que Suzanne ne se soit pas aperçue de mon absence. J’avais le sentiment qu’il me fallait absolument éviter une confrontation pour le moment. J’avais besoin de répit pour penser. Je suivais Nicole pas-à-pas, mais à peine étions-nous arrivés sur le seuil du salon, que je vis Suzanne se diriger vers nous d’un pas décidé. — Alors les amoureux… où étiez-vous partis ?— Ton mari s’est senti assez mal, et nous sommes allés faire un tour. Suzanne se tourna vers moi en me dévisageant : — Sérieux ? Je savais que j’étais incapable de lui mentir, mais heureusement je n’avais pas vraiment à le faire : — Suzanne, j’étais vraiment mal… comme fiévreux et j’ai tout vomi dans les toilettes. Heureusement Nicole a eu pitié de moi. Ce qui n’était que la pure vérité; mais naturellement pas toute la vérité… Elle sembla accepter nos explications, attribuant sûrement mon malaise à l’alcool que j’avais bu. Elle se rapprocha de moi et mit une main sur mon épaule, et de l’autre me caressa la joue. Si rien ne s’était passé, j’aurais considéré ce geste comme une marque de tendresse, mais je me surpris à me demander si elle avait pris la peine de se laver les mains après s’être soumise consentante aux caprices de René. — Tu vas mieux maintenant ?— Oui, oui. Ne t’en fais pas… Je sentis que ...
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