1. Le choc


    Datte: 03/06/2021, Catégories: fh, extracon, fête, fsoumise, Oral pénétratio, fdanus, confession, extraconj,

    ... train de se briser et mon univers s’écrouler. — Il ne l’a pas spécialement grosse, mais il peut tenir pendant des heures… Elle va avoir du mal à avaler pendant quelques jours, ta petite femme… dit-elle en pouffant de sa vulgarité. Nicole semblait vouloir me blesser encore plus profondément et y réussissait parfaitement. La douleur fit place à de la colère qui montait en moi et je me sentais prêt à la frapper. Heureusement, après quelques secondes de grande tension, elle rompit le silence : — Viens, on voit mieux de ma chambre…— Non, je ne veux pas ! Mais contredisant mon ton ferme, je la suivis, abattu et docile. Sa chambre était située sur un des autres côtés de la terrasse, d’où la vue sur le divan-balançoire devait donc être parfaitement latérale. Avant d’ouvrir sa porte, elle me mit à nouveau sa main sur ma bouche, pour m’empêcher de parler. — De toute façon, ils sont tellement occupés qu’ils ne nous remarqueront pas… Encore ce ton sarcastique ! Elle rentra, me fit passer et referma la porte doucement. Elle me prit la main et dans l’obscurité, me conduisit d’un pas sûr vers la fenêtre. Elle me plaça à côté d’elle. — Avec ces rideaux, je suis sûre qu’ils ne peuvent pas nous voir. Elle entrouvrit très légèrement les rideaux, s’abaissa et plaça son visage en retrait dans l’axe de l’ouverture. Après quelques secondes, elle me sourit et me fit signe de regarder par dessus sa tête. Tremblant, je plaçai mon visage dans l’ouverture, anxieux de l’hallucinant spectacle que ...
    ... j’allais découvrir. Comme je le pensais, la vue sur le divan-balançoire était parfaitement latérale et celui-ci se trouvait à environ quatre mètres de la fenêtre de la chambre de Nicole. Au centre du divan, René était confortablement installé, le visage penché vers le bas et suivant attentivement, et presque de manière sérieuse, l’activité de Suzanne – mon épouse… Bien que nous ne puissions voir le sexe et le bas-ventre de René, le mouvement de va-et-vient, lent et régulier, de la tête de Suzanne ne laissait planer aucun doute (si jamais il m’en était resté) sur la fellation qu’elle administrait, sous mes yeux incrédules, à une personne que je considérais jusqu’à quelques instants auparavant, comme un ami. J’étais tétanisé, incapable de la moindre réaction, incapable de prononcer le moindre mot. Je sentais mon cœur battre la chamade, et eus peur de défaillir. Je détournai ma tête de la fenêtre, et essayai d’inspirer profondément. Après quelques secondes, Nicole me fit signe de regarder à nouveau. Sur le divan, René avait bougé légèrement pour s’installer plus confortablement et placer ses deux mains sur la nuque de ma femme. Il portait encore ses jeans et il (ou, me mis-je à penser avec horreur, elle) n’avait que déboutonné la braguette pour dégager son membre. Le pull blanc qu’il portait tout à l’heure traînait sur la partie du divan visible de notre position. Son sweat-shirt avait le même bleu que ses jeans. Ma femme était, elle, encore habillée de son T-shirt blanc et de ses ...
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