Conte Noël qui se finit (commence) en juillet
Datte: 04/06/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
conte,
amourpass,
... ça, ajouta-t-elle après avoir déscotché ses lèvres. Tu n’as rien à voir avec Yann et j’ai envie de toi. Elle reprit son baiser, là où elle l’avait arrêté. Que vouliez-vous que je fasse. La chair est faible. La sienne était jeune et ferme. Je l’enlaçai à mon tour et donnai un laissez-passer à sa langue. L’alcool nous avait libérés de toute inhibition et ma jeune amie n’avait pas l’intention de faire dans la dentelle. Ses mains impatientes s’étaient attaquées à mon ceinturon. En moins de temps qu’il faut à un singe pour éplucher une banane, je me retrouvai avec jean et slip en bas des jambes. Sarah s’était emparée de ma bite raide comme la justice. Elle me plaqua dos au plan de travail, souleva sa robe. Si j’avais encore un doute sur sa préméditation, il s’envola : elle ne portait pas la moindre culotte. Sans me demander l’autorisation, elle s’empala sur mon membre. Pénétration aisée, facilité par la rigidité pas du tout cadavérique de mon pénis, par l’abondante lubrification de sa vulve et aussi par la longueur de ses jambes… Ses doigts plantés dans mes fesses, les miens agrippant les siennes, nous entraînions nos bassins dans un pistonnage intensif. Nos hanches claquaient bruyamment à chaque contact. La transpiration que nos ébats généraient, déclenchait une série de bruits bizarroïdes. Une telle chevauchée ne pouvait durer longtemps. La jouissance mutuelle arriva précipitamment. Sa violence fut inversement proportionnelle à la durée de notre étreinte. Elle nous laissa ...
... abasourdis, avachis, corps contre corps, heureusement soutenus par le plan de travail. — Je crois que j’en avais envie depuis le jour du mariage ! Premiers mots après consommation. Cet assaut précipité ne nous avait pas assouvis. Dès notre souffle repris, à peine décollé du panneau de travail, nous nous déshabillâmes mutuellement. Pour Sarah, ce fut quasi-instantané : en un tour de main, la robe passa par-dessus sa tête offrant son corps sculptural à mes yeux effarés. De tout petits tétins raidis, minuscules taches sombres au centre d’aréoles non moins minuscules, contrastaient avec la lourdeur de sa poitrine, un triangle noir broussailleux surmontait des grands lèvres imprégnées de nos sécrétions. Brève offrande visuelle. Impatiente, elle s’attaquait déjà à mes fringues. Elle mit un peu plus de temps. Surtout que dans ses gesticulations pour enlever mes chaussures, sa bouche s’était retrouvée à hauteur de mon pénis mollasson. Pour une jeunette de vingt ans, elle était plutôt délurée : sa bouche absorba ma bite et, goulûment, la toiletta. Résultat, retour à la vitesse V du désir. Ma queue durcissait entre les lèvres de mon impétueuse amie. Il ne lui en fallait pas plus, elle stoppa sa dégustation. Mon t-shirt vola, je ne sais où. Me prenant fermement par la bite, elle m’attira dans ma chambre. Nous nous écroulâmes sur le lit. À la violence initiale succéda, une séquencehot tendresse. Bouches jointes, langues fouisseuses. Poitrines pressées, ses durs tétons s’écrasant contre mes ...