1. Conte Noël qui se finit (commence) en juillet


    Datte: 04/06/2021, Catégories: fh, hplusag, amour, Oral pénétratio, fsodo, conte, amourpass,

    ... envahissante en s’habillant comme une ado provocatrice. Sa mini-jupe moulante révélait de longues jambes gainées de noir. Le haut dans la même veine fortement érotique s’agrémentait d’un décolleté profond qui dévoilait, autant que la décence le permettait, ses charmes légèrement frelatés mais d’un volume des plus… intéressant. Dans cette agence de drague estampillée troisième âge, elle pouvait se la péter. J’observais, amusé, son jeu de séductrice. Assise seule à une table sirotant un cocktail coloré, elle jouait les vamps, attendant son Rudolf Valentino. Elle venait de jeter deux mecs plutôt rustiques qui l’avaient maladroitement invitée. Un petit tour de piste avec elle ne m’aurait pas dérangé mais j’avais toutes les chances de subir le sort des deux pékins précédents. En tout état de cause, j’allais pas me casser le cul pour une drôlesse sur le retour. Elle refusa encore plusieurs sollicitations de prétendants décatis ou bedonnants. Ma chance fut que la concurrence n’était pas à la hauteur. Alors qu’elle virait un septuagénaire dont le pantalon parvenait difficilement à contenir un ventre habitué à la bière de mauvaise qualité, nos regards se croisèrent. Je ne pus m’empêcher de ricaner et miracle, elle me répondit par un grand sourire. Occasion à saisir me disaient ses dents étincelant dans la lumière bleutée des spots. Je me levai et nonchalamment, me dirigeai vers sa table. Je me la jouais mystérieux et sûr de moi : sans un mot, sérieux comme un pape, je lui tendis la ...
    ... main en invitation. En silence aussi, elle la prit et me suivit. Danseuse émérite : seule qualité que je lui reconnaisse encore aujourd’hui. Nous enchaînâmes plusieurs rocks. J’appréciais. J’appréciais aussi son corps sensuel qui s’appuyait aléatoirement contre le mien me faisant profiter du moelleux de sa poitrine, de la fermeté des ses hanches. Bonheur des yeux : ses seins ballottaient au gré du rythme, menaçant à tout instant d’abandonner leur nid douillet, sa jupe remontait, dévoilant le haut de ses cuisses et le bas de ses fesses. Plaisir des contacts : ses hanches cognant les miennes, ses seins se pressant furtivement contre ma poitrine. Ça me faisait chaud au… Après cette séance de rock endiablé, le disc-jockey nous balança opportunément une série de slows. Je n’eus pas à me demander si cela la tentait. Déjà, elle se blottissait dans mes bras. Nos précédentes gesticulations avaient dû l’émoustiller, ses tétons tendus, durcis, distendaient la frêle étoffe de son chemisier et pesaient contre ma poitrine. De sa peau nue où perlaient de minuscules gouttelettes brillantes émanait une odeur animale. La fragrance de son parfum musqué, exacerbé par ces émanations de sueur, m’enivrait. Sans plus de précaution, je plaçai ma main, moitié sur sa hanche, moitié sur sa fesse. La dame sembla goûter cette initiative. Son bassin s’encastra littéralement dans le mien. À travers les tissus, son mont de vénus, que je devinais proéminent, se frottait, sans aucune retenue, contre Popaul qui ...
«1234...17»