1. Conte Noël qui se finit (commence) en juillet


    Datte: 04/06/2021, Catégories: fh, hplusag, amour, Oral pénétratio, fsodo, conte, amourpass,

    ... provoquaient des contractions. Peu à peu, oint de cyprine, il s’attendrit, s’ouvrant timidement sous la poussée insidieuse que j’exerçai. Les mains de Sarah avaient délaissé ses fesses. L’une caressait mon crane, l’autre, glissée entre ses jambes, agaçait son clitounet. Son corps était parcouru de frissons, sa respiration s’altérait, de temps à autre, elle lâchait de petites plaintes. Elle s’abandonnait. Maintenant, ma langue, telle une petite bite, la sodomisait sans difficulté. — Encule-moi ! S’il te plaît ! Cette exclamation, venant de sa jeune bouche, un instant me pétrifia. Elle s’en rendit compte. — Vincent… Personne ne m’a… Je suis vierge. Même Mario, malgré son envie, n’a jamais eu le droit. Je veux te l’offrir. Présenté comme ça… j’avais intérêt à être à la hauteur. Elle croisa ses bras sous ses genoux, tirant ceux-ci contre ses épaules. Elle offrait, à mes yeux exorbités, son rectum dilatée, humidifiée par mes caresses labiales. Véritable appel auquel je ne résistai pas. Je plaçai mon gland larmoyant contre sa virginité anale. Ma raideur était telle, son envie si grande que ma bite pénétra son étroit canal sans aucun problème. Je restai ainsi immobile, mon bassin pesant contre ses fesses, jouissant de la magie de l’instant : ma vieille bedaine sur la peau fraîche de ses demi-lunes charnues. Mes bras se glissèrent le long de ses flancs, mes mains empressées atteignirent sa poitrine juvénile qu’elles malaxèrent fiévreusement tout en étirant ses minuscules tétons. ...
    ... Sarah ouvrit ses cuisses et posa ses jambes sur mes épaules. Elle ne contrôlait plus ses sphincters qui se contractaient sporadiquement autour de mon membre. Ses hanches entamèrent un court mouvement de balancier, repoussant mon bassin vers le haut puis l’entraînant vers le bas. D’abord, je me contentai d’accompagner, me laissant aller au plaisir de sentir ma bite immobile coulisser dans son conduit heureusement bien lubrifié. Ce train de sénateur ne lui suffisait pas. Ses ongles acérés qui agrippèrent mon cul me firent comprendre qu’elle espérait plus d’enthousiasme dans nos ébats. J’abandonnai sa poitrine, posai mes mains bien à plat sur le drap. Jambes tendues, je commençai une série de pompes… À chaque tour, ma queue sortait presque entièrement de son cul, pour y pénétrer violemment, mes hanches frappant rythmiquement ses fesses rebondies. Ma première éjac n’était pas si loin et, comme sœur Anne, je ne voyais rien venir… je la pilonnais rudement en ahanant. Je ne savais si les cris qu’elle poussait exprimaient la douleur ou le plaisir mais je remerciais le ciel de ne pas avoir de voisin trop proche. Sinon nous aurions été bons pour une descente de police ! Craignant malgré tout de lui faire mal, je ralentis l’allure. Mal m’en prit. Ses ongles entrèrent à nouveau en action tandis qu’elle hurlait : — Non ! Non ! N’arrête pas ! Plus vite ! Une seconde, je me demandai si j’allais tenir le rythme ! Je n’avais plus vingt ans… Je repris ma chevauchée fantastique. Elle devait ...
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