1. Sait-on jamais ?


    Datte: 06/06/2021, Catégories: ff, copains, forêt, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral aliments, piquepince, init, initff, fbi, nature,

    ... serais à la fois un peu jalouse et… amusée. Il n’ose pas, bien sûr. Si je les pinçais, moi, ces petites framboises roses rendues luisantes par la crème ? Pourquoi résister à une telle envie ? Je le fais donc, mais délicatement, pendant deux ou trois secondes. Elle rit, rougit un peu. — Oh, Sophie… Et elle fait de même avec la pointe de mes seins, mais en pinçant fort. Comment sait-elle que j’adore cette délicieuse torture ? Je suis idiote, c’est parce que je viens de la lui infliger, pardi ! Alors je réitère, mais en pinçant plus fortement. Elle grimace, et serre plus fort, très fort. — Bon, si on est de trop… grogne Julien. Le voilà qui fait sa mine de chien battu. Il faut donc que je le rassure : — Vous n’êtes pas de trop, donne le tube à Thomas. Thomas, mon dos, s’il te plaît. J’ai lâché les seins de Chloé, qui m’a imitée. Vient donc la douleur que procure l’afflux du sang dans les tétons qui rougissent, pendant que glisse la main de Thomas sur la peau de mon dos. Sa main s’avance légèrement sous mon bras gauche que j’ai écarté pour l’inviter à aller plus avant. Si je me tourne, elle sera sur mon sein, sa main. Je me tourne. — Tu peux continuer, Thomas, si tu veux. Il avale sa salive, le regard trouble. C’est en les caressant doucement qu’il recouvre mes seins de crème. Leurs pointes grossissent et durcissent. Comme elles sont bien, après avoir un peu souffert ! Deux fraises, qui devraient attirer sa bouche. Il n’ose pas. Il a tort. Julien sourit bêtement mais il bande ...
    ... sous son short. Tiens, Thomas aussi ! — Tu en as besoin, toi aussi, Thomas, lui dis-je. Je vais t’en passer. Chloé, protège donc Julien, pendant ce temps. Je caresse la poitrine de Thomas, puis ses cuisses, en me penchant un peu. J’envisage de frôler le devant du short, comme par inadvertance, mais je n’ose pas. J’ai peut-être tort. Chloé, accroupie devant Julien, lui badigeonne consciencieusement les mollets, les genoux, les cuisses. Les choses ne vont pas plus loin et nous nous mettons en route. Les garçons ont la démarche maladroite de ceux qui bandent ferme. Ça leur passera, dommage ! Je chemine à côté de Chloé, qui me parle à mi-voix : — Les petits tétons de Julien ont grossi quand je passais la crème. J’avais envie de les pincer… J’avais envie de lui faire mal, à ton mec. Tu crois que c’est normal ?— Tu lui en voulais de ne pas avoir osé te la passer lui-même sur tes petits nichons, cette crème.— Ils sont vraiment trop petits, mes nichons, comme tu dis ?— Ils sont adorables !— Tu es gentille, Sophie… Je t’ai fait mal, tout à l’heure, quand je t’ai pincée ?— Un peu. J’ai adoré !— Toi, tu m’as fait mal… Mais j’ai adoré aussi. C’était la première fois, tu vois. Tu crois qu’on est masos ?— Pas plus que les autres, sans doute.— Julien te les pince, en te faisant l’amour ?— Ça lui arrive.— Ah ! Elle en reste toute pensive. Dans les ruines du château, il n’y a pas âme qui vive et s’il prenait fantaisie à quelqu’un d’y monter nous le verrions venir de loin. Nous sommes donc seuls ...
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