1. Sait-on jamais ?


    Datte: 06/06/2021, Catégories: ff, copains, forêt, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral aliments, piquepince, init, initff, fbi, nature,

    ... au monde. Nous explorons, çà et là, puis les garçons escaladent le donjon à moitié écroulé. De petits arbres ont même poussé entre les pierres. — Sophie, tu veux que je te dise à quoi j’ai pensé, tout à l’heure ?— Bien sûr.— On pourrait se coucher, là, nues toutes les deux, bras et jambes écartés, et attendre que les garçons daignent redescendre de ce foutu donjon pour s’occuper enfin de nous.— Oui, ce serait une bonne idée. Mais il est trop tard, ils arrivent. Nous n’avons plus le temps, en effet. Ils sont déjà là : — Bon, les filles, il est temps de redescendre et de voir si on peut se baigner, proclame Julien. Le week-end est gâché, parce qu’on n’ose pas, parce qu’on n’ose rien. La descente est morne. Voici le ruisseau. Il n’est pas assez profond. En amont, il y a des gouffres, prétend Julien. Mais tellement de buissons ont poussé depuis quelques années que le sentier est obstrué. De toute façon l’eau est glacée, ce serait de la folie de se baigner. Il faut prendre les sacs et remonter jusqu’à la voiture. Mieux vaut changer ses désirs que l’ordre du monde, comme dit l’autre. Les garçons marchent devant. Ils sont capables de parler foot, ces abrutis ! Chloé m’entretient de son stage. De temps à autre, machinalement, elle pince légèrement les pointes de ses seins pour qu’elles demeurent gonflées, elle trouve que ça fait plus joli. Sans ça, elles rabougrissent, dit-elle. — … Mais personne ne les regarde. Enfin si, toi, Sophie. Mais tu préfères les garçons.— Toi aussi, Chloé ...
    ... ! Il fallait voir comme tu étais émue, tout à l’heure, en caressant Julien !— Oh, sa poitrine, seulement. D’ailleurs il est à toi, Julien.— Non. Personne n’est à personne, tu le sais bien.— On aurait bien dû faire ce que j’ai dit, se coucher, toutes nues, et attendre… On approche de la voiture, il va falloir remettre nos hauts…— Regarde le petit bois, à droite. On y va, et s’y couche, toutes nues comme tu dis, bras et jambes écartés ?— Oh oui ! Nous courrons comme des malades. Quand les garçons daigneront se retourner, ils ne nous verront plus. Nous nous enfonçons dans la forêt de pins tordus et de genévriers. À gauche les taillis sont plus épais, nous y allons, nous les dépassons, Chloé se laisse tomber sur le sol. — Mais il faut te déshabiller, Chloé !— Aide-moi. Déshabille-moi. Ma jupe et ma petite culotte jetées sur le sol, je la débarrasse de son bas de bikini, sans prendre la peine de délasser ses baskets. Mais au lieu de me coucher auprès d’elle et d’attendre que viennent les garçons, je frôle sa poitrine aplatie par sa position. Presque une poitrine de garçon, sauf les deux tétons que je pince légèrement. — Oui, Sophie, oui, plus fort, gémit-elle. Je pince un peu plus durement puis je passe la main sur son mont de Vénus. Tout le corps de Chloé frémit. — Oh oui, Sophie, oh oui… Je mordille le téton gauche, puis le téton droit. — Ohé, ohé ! Les garçons nous appellent. J’abandonne la poitrine pour poser mes lèvres sur le pubis aux petits poils noirs, et je souffle. — Oh, ...
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