1. De Julien à Julie (18)


    Datte: 07/06/2021, Catégories: Transexuels

    De Julien à Julie –18 Résumé : Julien est devenu Julie, suite à un traitement hormonal. Elle est amoureuse de Patrick gérant d’un bar chez qui elle vit. Ce qui ne l’empêche pas de faire l’amour avec d’autres partenaires. Récemment, avec sa sœur et même sa mère qu’elle revoit aujourd’hui. Carole qui ne donne pas de cours aujourd’hui, propose à ma sœur de passer la journée chez elle. En effet, l’une et l’autre ne souhaitent pas s’incruster dans l’appartement de mon homme. Elles ne prennent pas le temps de faire leur toilette prétextant de la faire chez Carole. Je crois qu’elles sont surtout pressées d’avoir du bon temps dans l’intimité. Ce matin, je n’ai que deux heures de cours à l’issue desquelles, comme promis [16], je file chez ma mère. Quand j’arrive à la maison, je la trouve radieuse. Outre son maquillage qui la met en valeur ses yeux pétillent de joie de me voir. Ça me fait énormément plaisir de constater qu’elle s’applique à penser à elle ! Je constate que sa tenue n’est pas ordinaire. D’ailleurs je ne la reconnais pas vêtue ainsi. Elle porte un caraco en satin rouge bordé de dentelle noire, sans soutien-gorge au vu des tétons qui pointent au travers du tissu. Elle a une jupe en cuir qui la moule jusqu’à mi-cuisse. Elle tourne sur ses talons aiguille et me demande : — Je te plais ? — Absolument ! Et puis avec ces bas à couture, tes jambes sont sacrément mises en valeur ! — Je suis allée faire quelques achats, hier ! J’ai suivi tes conseils et décidé de me « relooker » … ...
    ... — Tu es sublime comme ça ! On s’embrasse maintenant ? Je l’enlace et notre baiser dure si longtemps que j’en perds haleine. J’aime presser son corps contre le mien, lui flatter le postérieur avant de repartir dans un nouveau baiser passionné. Elle sent bien mon sexe durcir sur son pubis, mais elle préfère se détacher de moi et me propose de l’aider à préparer le repas. Durant ce temps, nous jouons toutes les deux à nous caresser furtivement ou nous biser lorsque nous sommes proches l’une de l’autre. Plus aucun tabou ne nous entrave. Je lui mets même la main aux fesses, ce qui la fait roucouler, quand elle se penche vers le bac à légume dans le frigo. Elle en sort un cncombre qu’elle m’agite sous les yeux. Pour (faussement) se venger de mon geste déplacé, elle me contourne, se place derrière moi, soulève ma jupe et appuie le légume sur mon derrière pour mimer un coït. Je n’en reviens pas que ma mère si prude puisse avoir un tel comportement ! Mais elle semble revivre et vouloir rattraper un temps perdu. — Humm maman ! Arrête, ça me fait envie ! — C’est un peu gros quand même ! — Non ça va ! Pas tant que ça ! Je pense à Roger, l’ami africain de Patrick, qui n’a rien à envier à cette cucurbitacée. Nous rions à nouveau et reprenons nos préparatifs culinaires. Très sérieusement tout à coup maman dit : — Après le repas j’aurais quelque chose à te confier — Ah bon ? Quoi donc ? — Je t’en parle après le repas ! Sois patiente … J’ai beau la tarabuster, elle ne lâche rien ! Sinon pour ...
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