De Julien à Julie (18)
Datte: 07/06/2021,
Catégories:
Transexuels
... d’ongles dans le dos. Je ne savais avec quelle tigresse il était, jusqu’à plus tard. Les longs cheveux roux que j’ai trouvés ce jour-là auraient dus me donner une indication. Je te dirai plus tard de qui il s’agit. » Je demande à maman : — Pourquoi ne disais-tu rien ? Tu étais son épouse légitime. — Laisse-moi continuer, je vais t’expliquer : « Je me taisais pour éviter sa colère, mais j’en ai quand même parlé à ma sœur. Sophie m’a conseillée de le reconquérir, en étant plus sexy. J’ai acheté quelques dessous coquins et ça a marché un temps ! Il était plus souvent à la maison et me faisait à nouveau l’amour régulièrement. Je m’abandonnais de plus en plus à ses fantaisies et y trouvait même de l’intérêt, moi aussi. Il allait de plus en plus loin dans ses délires et je me pliais à ses exigences. Parfois ça m’amusait, d’autres fois j’avais un peu peur que ça dégénère. Quand j’acceptais ses sodomies avec de plus en plus de plaisir, ça ne lui convenait plus ! J’en suis arrivée à accepter qu’il me batte avec les trucs que tu as vus là-haut ! Tout y est passé, y compris le fouet ! Ce qu’il préférait, c’était me mettre une cagoule et me bâillonner quand il me frappait. Je ne pouvais plus crier et évitais ainsi de vous réveiller ta sœur et toi. Et puis, comme je me débattais trop à son goût, il s’est mis à m’attacher dans le lit avec ça ! » Maman me désigne les liens en cuir qu’elle a en main, avant de reprendre son récit, très confuse pour parler. Ses mots peinent à sortir, mais ...
... elle se force à continuer : « Un soir, il m’a fait porter la culotte fendue que tu as pu voir, sous des habits de petite fille. Il m’a bâillonnée, enfilé la cagoule, m’a mise sur le ventre et m’a attaché les bras et les jambes aux pieds du lit, plus fermement que d’habitude. J’étais complètement écartelée. Mes poignets et chevilles étaient serrés à m’en faire mal. La bouche obstruée, je ne pouvais pas protester et de toute façon il n’en avait cure. Il a soulevé ma jupette, et m’a soigneusement doigté l’anus avec du lubrifiant. Je pensais qu’il allait me prendre, mais non ! Il est parti, me laissant l’attendre dans cette position inconfortable. J’entendais la télévision, il regardait une émission de sport alors que je souffrais le martyr. Mes bras étaient ankylosés au possible alors que le temps passait. Tout à coup, j’ai entendu sonner à la porte, puis des voix d’hommes. J’étais totalement paniquée ! Il aurait dû me détacher avant qu’ils n’arrivent ! » Maman reprend sa respiration et se lance dans la suite : «Ils ont discuté un moment, sans que je ne puisse entendre clairement les mots prononcés. Soudain, la porte de la chambre s’est ouverte brusquement et mon mari a dit : Alors les gars ? Ce n’est pas un beau petit lot cette gamine ? Regardez-moi ce joli cul que j’ai préparé à votre intention ! Les gars ont fait des tas de commentaires grivois, puis sont repartis. La porte s’est refermée alors que j’étais absolument paniquée ! J’ai compris que j’étais l’objet d’une enchère en ...