Réconfort & vieilles dentelles. III. La location d'été (4)
Datte: 08/06/2021,
Catégories:
Hétéro
... fougueuse étreinte de l’autre soir, cela me mettait mal à l’aise. Je ne voulais pas passer pour un soudard qui lui avait sauté dessus, en profitant de sa compassion. « - Dîtes, Marie-Annick, je voulais vous dire… pour l’autre soir : je n’ai pas l’habitude de me comporter comme ça avec une femme… — Ne dites rien », m’interrompit-elle, « ça ne veut pas la peine d’y revenir… — Ce que je voulais vous dire, Marie-Annick, c’est que, personnellement je ne regrette rien, ou plutôt si, je regrette que ce soit passé si vite. Je voudrais que vous sachiez que ça n’est pas dans ma façon de faire de faire l’amour aussi vite, aussi brutalement… Ça n’est pas ce que j’aime… — Ne vous en faites pas » dit-elle en ne pouvant s’empêcher de sourire (et je me demandais quelle était la signification de ce sourire : moquerie, ou bien était-ce l’évocation de ce souvenir qui l’émoustillait un peu… ?), « j’ai bien compris que vous êtes quelqu’un de bien, un homme bien éduqué, respectueux de l’autre et des femmes, et non pas un homme vulgaire… — Merci. J’aime prendre mon temps, c’est très important pour moi. Mais c’est vous qui étiez pressée… Je suis désolé. — Oui en effet, mon mari était à la maison, tout près, et vous comprenez que ça me stressait un peu » ajouta-t-elle avec un sourire entendu. « - Oui, évidemment, j’en ai conscience. » Un silence passa. Elle me regardait de ses yeux clairs. Elle sembla hésiter, puis : « - Aujourd’hui mon mari est parti pour toute la journée. » Mon visage s’éclaira ...
... et elle sourit en retour. « - Alors », lui demandai-je, inclinant la tête, séducteur, « vous voulez bien me laisser une chance de me « rattraper » ? — Oui », murmura-t-elle, puis elle baissa les yeux. Je me rapprochai ostensiblement et elle répondit en m’ouvrant les bras. Je l’enlaçai et pour la première fois, lui roulai une pelle d’enfer, langoureuse et avide, qu’elle me rendit sans mégoter. J’avais refermé mes bras autour de son corps large, lui caressant les flancs, descendant vers sa large croupe, lui flattant les reins, lui pelotant ses grosses fesses à travers la fine robe légère. Je continuai à la galocher, caressai ses bras pleins, puis posai délicatement mes mains sur ses seins que je fis rouler, les remontant, les laissant redescendre, les pelotant à pleins mains. Elle réagissait en gémissant, sa bouche pleine. Je sentais son désir à sa façon de se presser contre moi, de frotter son ventre chaud et replet contre le mien. J’avais une gaule d’enfer, apparue dès que j’avais pris sa bouche et que j’avais compris qu’elle allait se donner à moi. Ma bouche quitta sa bouche, et tout en continuant à caresser ses belles formes, je la regardai droit dans les yeux, et je saisis les pans de sa robe, de chaque côté, et me mis à les remonter lentement, très lentement, sans quitter son regard. Je sentis son trouble, son excitation, et pas la moindre gêne, la moindre pudeur. J’allais la foutre à poil, m’exposer son corps large et nu dans la pleine lumière de la chambre (la matinée ...