Réconfort & vieilles dentelles. III. La location d'été (4)
Datte: 08/06/2021,
Catégories:
Hétéro
... était ensoleillée et les rayons rentraient par les vitres, baignaient la pièce.) Je levai lentement sa robe, baissant les yeux de temps en temps pour regarder au fur et à mesure la partie que je découvrais (la racine des cuisses grasses, le pubis renflé, le ventre opulent, puis les seins), en parfait mateur. Ses yeux, loin de refléter une gêne, contemplaient avec étonnement mon regard gourmand et concupiscent. Elle ne voyait que du désir dans mon regard ce qui semblait avoir pour effet de l’exciter, elle aussi, en retour. Quand sa robe bouchonnée fut arrivée au niveau de son cou, je l’en libérai en la faisant passer par-dessus sa tête. Découvrant ainsi son corps sculptural et blanc, je tombai à genoux aux pieds de la déesse. Je posai mes mains de chaque côté de son bassin, sur sa chair molle et chaude, et j’enfouis mon visage dans son ventre, puis descendant, sur son mont de Vénus replet. Je mis à emboucher la chair de l’intérieur de ses cuisses qui se rejoignaient en haut, lui prodiguant des suçons sonores, tout en lui pelotant avidement l’extérieur de ses fesses. Elle se mit à glousser, révulsant sa tête en arrière, pliant les genoux, entrouvrant ses cuisses. J’en profitai pour m’engouffrer dans la brèche : ma bouche trouva le sexe corail aux lèvres bien ourlées que j’écartai de ma langue. La belle, pressant ma tête de ses deux mains, se mit à soupirer avec force. Puis ce fut des gémissements, des plaintes, des mots d’encouragement. Elle coulait, je recueillais le suc sur ...
... ma langue, l’avalant à chaque fois, appréciant son goût de sève, salé et subtile. La sentant vaciller sur ses jambes, je la poussai doucement pour l’entraîner vers le lit (que je n’avais pas encore défait… elle aurait dû retenir la préméditation.) Je la basculai lentement en arrière, elle se laissa tomber sur le bord de la couche, et m’ouvrit largement ses cuisses, me faisant l’offrande de toute son intimité. J’allais m’en montrer reconnaissant, et lui donner la volupté qu’elle méritait en retour. Tandis que mes mains caressaient le satin frais de l’intérieur de ses larges cuisses en des mouvements langoureux, montants et descendants, ma bouche ventousa sa belle chatte bien ouverte, ma langue ne se montrant pas économe de ses mouvements, entrant en elle, en ressortant, glissant de haut en bas, explorant en des mouvements circulaires tous les recoins de la vulve. Elle avait levé ses grosses cuisses le plus haut possible, et m’offrait l’entrée de son corps en toute impudeur, et sans retenue aucune. Elle, s’amusait à m’enrouler ses jambes autour de la tête ; enfin, « s’amusait », autant que le plaisir qu’elle commençait à prendre lui en laissait encore la faculté. Car les ondulations de plus en plus rapides et de plus en plus amples de son bassin, qui venait à la rencontre de ma bouche, la trahissaient, et les orgasmes montaient en elle comme des vagues et commençaient à secouer tout son corps, tandis que sa bouche laissait échapper des cris désespérés, même si elle tentait de ...