Réconfort & vieilles dentelles. III. La location d'été (4)
Datte: 08/06/2021,
Catégories:
Hétéro
... temps, et alors que j’aspirais son bourgeon entre mes lèvres, elle déchargea brutalement, et ma main fut toute aspergée des fruits de sa jouissance. Mais ma belle amante mûre avait encore de la ressource. Soit elle avait été sevrée de plaisir sexuel depuis un moment, soit je venais de réveiller la femelle en chaleur qui avait sommeillé jusqu’à là en elle, soit encore, le goût de l’interdit s’ajoutait à sa sensation de vivre une occasion unique à son âge de réaliser une aventure imprévue et improbable avec un locataire, et l’avait excitée autant que moi, mais elle ne s’en laissa pas compter et elle me montra qu’elle n’avait pas encore l’intention de s’arrêter là : Elle interrompit soudain son activité pour me dire avec une voix de folle que je ne lui reconnus pas : " - Tu vas me prendre en levrette" et joignant l’action à la parole elle se mit immédiatement à quatre pattes sur le lit. — Tu aimes ça ? — J’adore ! Et j’en ai envie... — OK" dis-je en m’apprêtant à me positionner derrière elle et sa croupe majestueuse. " - Oui, tu vas bien me faire jouir comme ça. Prends-moi fort, j’aime ça ! — A vos ordres, Madame" lui lançai-je ironiquement, et je saisis ses fortes hanches, "ça tombe bien j’adore ça aussi ! Et en effet, de voir ainsi la grosse poule, son large cul bien cambré et bien campé sur ses grosses cuisses, installée comme une chienne, avec ses nichons pointant vers le lit, me fit bander de plus belle. C’est donc sans problème que mon vit trouva son chemin et franchit la ...
... porte de son corps pour aller buter bien au fond de son ventre, ce qu’elle accueillit avec un cri d’enthousiasme. Sans perdre mon temps en fioritures je me mis à la pilonner à longs coups de reins, mes mains maintenant fermement son bassin. La voir ainsi se faire besogner par mézigue avec tout son large corps secoué des soubresauts au rythme de mes coups de boutoir n’était pas pour me calmer. Je lui donnai tout ce que je n’avais pas pu lui donner l’autre soir, ébranlant son utérus, ralentissant par moments pour qu’elle me sente bien sur toute la longueur - allant même jusqu’à ressortir presque entièrement pour le plaisir de sentir cette pénétration - ce moment durant moins d’un dixième de secondes que les femmes qui savent apprécier savourent en lâchant des soupirs languissants. J’enserrais par moments son ventre de mes deux bras, la plaquant contre moi, me collant contre son cul, allant attraper ses nichons qui se balançaient en cadence, triturant ses larges mamelons couleur brique, les pinçant, pressant ses mamelles comme si je voulais les essorer, sans ralentir mes coups de bélier. Ses râles, au fur et à mesure qu’ils montaient en intensité, se transformèrent en cris de bête blessée à mort, et elle se mit à jouir, secouée de toutes parts, oscillant sur ses genoux et ses coudes. Me retirant, je lui déclarai que je voulais jouir sur ses seins ; elle se laissa aller lourdement sur le côté, et j’eus à peine le temps de m’approcher que de longs jets partirent sur sa poitrine, ...