Lettre à Caro - 1
Datte: 08/06/2021,
Catégories:
fh,
inconnu,
Collègues / Travail
magasin,
pied,
intermast,
journal,
f+prof,
... voir la dentelle de vos bas.— Vous risquez d’être déçu…— Impossible Madame, même si je n’avais rien vu, je jurerais que vous portez des bas, vous vous habillez en bourgeoise mais je vous regardais descendre la rue et j’ai tout de suite vu la vraie femme, fière de sa beauté, de son corps qu’elle tente faussement de dissimuler, de sa démarche qu’elle sait provocante à force de retenue hautaine, et cette bouche gourmande qui trahit tous les appétits. Le coquin sait y faire, il a retrouvé de l’aplomb, j’ai presque oublié le risque de viol et pourtant ça ne peut que mal finir. Je ne vois pas comment m’en tirer. Dans une minute, il va me supplier de toucher mes bas, puis mes cuisses, et après ? Pendant que je fais des plans, mon adorateur fait des progrès, il a fait glisser mon pied vers le bas, je sens qu’il l’appuie sur son sexe et qu’il bande, me voila bien embarquée. J’ai une idée, à son âge on jouit vite. Dans le fond, si je le fais décharger, il me fichera la paix ; je ne peux pas imaginer baiser au milieu du magasin à deux pas de l’école et pourtant il faut qu’il jouisse sinon il ne me lâchera pas. C’est décidé, je vais l’exciter à fond. — Si je vous montre mes bas à quoi rêverez-vous après ? Et, comme si j’avais confiance, je tire sur ma jupe et je lui laisse voir un peu au-dessus de la dentelle. Il fait semblant de réfléchir mais je sens qu’il frotte la plante de mon pied sur son sexe. J’ai toujours adoré ça, je trouve que le pied est aussi sensible que la main ; sur un ...
... membre nu bien dressé, je fais des merveilles avec mes orteils. — Mon rêve me conduit alors vers un vrai phantasme érotique, mais peut être la sexualité y remplace l’esthétisme.— Dites toujours…— Tant pis si je vous choque, je rêve que vous écartez les cuisses et que je vois votre slip qui est sûrement en dentelle transparente, je me trompe ?— Oui mon ami, cette fois vous vous trompez.— Je serais déçu si vous portiez un string, c’est tellement vulgaire. Vous savez, nos modèles sont rasés. Je rêve d’une grosse touffe de poils noirs autour d’un petit museau de chat tout rose et pour sembler protéger ce trésor, un fragile grillage en résille qu’on déchire avec les dents. Avoue que l’image fait mouiller ! C’est du Baudelaire amélioré, il ne faudrait pas que je jouisse avant lui, je fonce : — Et s’il n’y avait pas de grillage de protection ?— Non ne vous moquez pas, ce serait le plus beau cadeau de ma vie, ce n’est pas possible ! Vous n’auriez pas de culotte… cela n’existe que dans les livres. Je ne vous crois pas, montrez-moi et je ferai tout ce que vous voulez.— Attention, je vous prends au mot, si c’est vrai vous ferez tout ce que je veux ?— Oui, juré, mais arrêtez ce supplice.— Eh bien, donnant-donnant, montrez-moi votre sexe et vous verrez le mien. Mais jurez de ne pas me toucher.— Je jure, dit l’innocent garçon. Et il se déboutonne et sort de son slip un beau sexe d’adolescent bien droit. Je le couvre immédiatement de mon pied comme si je ne croyais pas qu’il allait le faire ...