Mathilde – Mon enfance : premiers plaisirs
Datte: 09/06/2021,
Catégories:
Lesbienne
Masturbation
Inceste / Tabou
J’avais à peine sept ans lorsque un jour, je tombais malade. Rien de grave mais ma tendre mère, craintive, me fit coucher avec elle ? Quelle fut sa surprise lorsqu’une nuit, me croyant endormie, elle s’aperçut que j’avais la main sur la partie qui nous distingue des hommes où, par un frottement bénin, je me procurais des plaisirs peu connus d’une fille de sept ans, et très communs parmi celles de quinze. Ma mère pouvait à peine croire ce qu’elle voyait. Elle lève doucement la couverture et e drap, elle apporte une lampe qui était allumée dans la chambre, et, en femme prudente et connaisseuse, elle attend constamment le dénouement de mon action. Il fut tel qu’il devait être : je m’agitai, je tressaillis, et le plaisir m’éveilla.Ma mère, dans le premier mouvement, me gronda de la bonne sorte, elle me demanda de qui j’avais appris les horreurs dont elle venait d’être témoin. Je lui répondis en pleurant que j’ignorais en quoi j’avais pu la fâcher, que je ne savais pas ce qu’elle voulais dire par les termes d’attouchement et d’impudicité. La naïveté de mes réponses la convainquit de mon innocence, et je me rendormis : nouveaux chatouillements de ma part, nouvelles plaintes de celle de ma mère. Enfin, après quelques nuits d’observations attentive, on prit le parti de me lier étroitement les mains de manière qu’il me fut impossible de continuer mes amusements nocturnes.A l’âge de neuf ans, nous nous assemblions souvent, des jeunes filles et garçons de mon âge, dans un grenier ou ...
... dans quelque chambre écartée. Là, nous jouions à de petits jeux : un d’entre nous était élu le maître d’école, la moindre faute était punie par le fouet. Les garçons défaisaient leurs culottes, les filles troussaient jupes et chemises ; on se regardait attentivement, vous eussiez vu cinq à six petits culs admirés, caressés et fouettés tour à tour.Ce que nous appelions la guigui des garçons nous servait de jouet, nous passions et repassions cent fois la main dessus, nous la prenions à pleine main, nous en faisions des poupées, nous baisions ce petit instrument dont nous étions bien éloignés de connaître l’usage et le prix. Nos petites fesses étaient baisées à leur tour. Il n’y avait que le centre des plaisirs qui était négligé. Pourquoi cet oubli ? Je l’ignore.Mais les aimables serpents que nous eûmes la témérité de toucher étaient encore trop jeunes, trop petits pour opérer les plaisirs dont ils étaient capables. Mais ils s’allongeront, ils grossiront, ils s’élanceront contre nous et cracheront leur précieux élixir.Ce serpent charmant se peignait sans cesse dans mon âme et s’y arrêtait malgré moi, soit en veillant, soit en dormant. Quelquefois, tout émue, je croyais y porter la main, je le caressais, j’admirais son air noble, altier, sa fermeté, quoique j’en ignorasse encore l’usage. Mon cœur battait avec une vitesse étonnante et, dans le fort de mon extase ou de mon rêve, toujours marqué par un frémissement de volupté, je ne me connaissais presque plus : ma main se trouvait ...