1. Mathilde – Mon enfance : premiers plaisirs


    Datte: 09/06/2021, Catégories: Lesbienne Masturbation Inceste / Tabou

    ... dévorait des yeux, embarrassé sur le choix : l’une était un friand morceau mais il avait promis du plaisir, de l’extase à sa pénitente. Comment faire ? Il osa diriger plusieurs fois la tête de son instrument sur la porte favorite, à laquelle il heurtait légèrement. Mais enfin la prudence l’emporta sur le goût. »Il l’enfile. Description exacte de ses mouvements, de ses attitudes, etc.Je lui dois cette justice : je vis distinctement le rubicond priape de sa Révérence enfiler la route canonique après en avoir entrouvert délicatement les lèvres vermeilles avec le pouce et l’index de chaque main. Ce travail fut d’abord entamé par trois vigoureuses secousses qui en firent entrer près de moitié. Alors, tout à coup, la tranquillité apparente de Marc se changea en une espèce de fureur. Quelle physionomie ! Il tenait ses mains élevées à quatre doigts de la croupe de Sophie, sur laquelle on voyait qu’il n’osait les appliquer pour y prendre un point d’appui. Ses doigts écartés étaient en convulsion. Sa tête était baissée et ses yeux étincelaient, fixés sur le travail de la cheville ouvrière, dont il compassait les allés et les venues de manière que, dans le mouvement de rétroaction, elle ne sortît pas de son fourreau et que, dans celui d’impulsion, son ventre n’appuyât pas aux fesses de la pénitente, afin de garder pour plus tard le plein effet de son bel outil. Je vis qu’environ la longueur d’un travers de pouce du bel instrument fut constamment réservée au dehors et n’eut point part ...
    ... à la fête.Je vis qu’à chaque mouvement que le croupion de Sophie faisait en arrière, par lequel le cordon se retirait de son gîte jusqu’à la tête, les lèvres de la partie de [ma cousine s’entrouvraient et paraissaient d’un incarnat si vif qu’elles charmaient la vue. Je vis que, lorsque Marc, par un mouvement opposé, poussait en avant, ces mêmes lèvres, dont on ne voyait plus alors que le petit poil noir qui les couvraient, serraient si exactement la flèche, qui semblait comme engloutie, qu’il eût été difficile de deviner auquel des deux acteur appartenait cette cheville, par laquelle ils paraissaient l’un et l’autre également attachés.Quelle mécanique ! Quel spectacle, pour une fille de mon âge qui n’avait aucune connaissance de ce genre de mystères ! Que d’idées différentes me passèrent dans l’esprit, sans pouvoir me fixer à aucune ! Il me souvient seulement que vingt fois je fus sur le point de m’aller jeter aux genoux de Marc pour le conjurer de me traiter comme ma cousine.« - Ah ! Mec ! Putain ! s’écria Sophie, quel plaisir ! Mets un doigt dans mon cul ! Vas-y ! Oui, je jouis si fort ! Pousse plus avant… pousse fort ! Défonce-moi !! Ah !.. Ah !… Ne m’abandonne pas ! Je sens... Je vais... VAS-Y ! OUIIIIIIIii ! Ah ! Putain ! Ma chatte ! J’en peux plus… Je meurs ! »Quelques instant après, la belle tige se retira de son écrin laissant échapper un divin nectar que le beau Marc avait fait jaillir pour combler Sophie.Alors que je me caressait depuis les premiers instant et que ...