1. Mathilde – Mon enfance : premiers plaisirs


    Datte: 09/06/2021, Catégories: Lesbienne Masturbation Inceste / Tabou

    ... saisie de la pomme, mon doigt remplaçait le serpent. Excitée par les avant-coureurs du plaisir, j’étais incapable d’aucune autre réflexion.Mathilde – adolescence chez ma cousineJ’avais 14 ans et je passais l’été chez ma cousine Sophie, de 20 ans, qui était avec son copain, Marc. Un après-midi, je les surpris dans une situations qui m’aura marqué à jamais.Levant sa jupe et sa chemise jusqu’à la ceinture, elle laissa voir deux fesses blanches comme la neige et d’un ovale parfait, soutenues de deux cuisses d’une proportion admirable.Après que Sophie se soit mise à quatre pates, quelle fut ma surprise lorsque je vis Marc, déboutonnant sa culotte, donner l’essor à un trait enflammé qui était semblable à ce serpent fatal qui m’avait attiré les reproches de ma mère ! Ce monstre avait acquis la longueur, la grosseur et la fermeté prédite par ma cousine, il me faisait frissonner. Sa tête rubiconde paraissait menacer les fesses de Sophie qui étaient devenues de plus bel incarnant. Le visage de Marc était tout en feu.Dans ce moment, ce bourreau fit tomber une grêle de coups sur toutes les parties du corps de Sophie qui étaient à découvert. Cependant, elle ne disait mot, elle semblait être immobile, insensible à ces terribles coups, et je ne distinguais simplement en elle qu’un mouvement convulsif de ses deux fesses, qui se serraient et se desserraient à chaque instant.- Je suis content de toi, lui dit Marc après un quart d’heure de cette cruelle discipline, il est temps que vous ...
    ... commenciez à jouir du fruit de vos efforts. Prosternez-vous face contre terre ; je vais, avec la vénérable tige chasser tout ce qui reste d’impur au-dedans de vous.Marc la plaça en effet dans une attitude, humiliante à la vérité, mais aussi la plus commode à ses desseins. Jamais on ne l’a présenté plus beau : ses fesses étaient entrouvertes et on découvrait en entier la double route des plaisirs.Après un instant de contemplation de la part de ce beau mâle, il humecta de salive ce qu’il appelait la tige et, tout en pinçant délicatement les tétons de Sophie, il commença à frotter le bout gonflé de sa tige contre les orifices de ma chère cousine.J’étais placé de manière à ne pas perdre la moindre circonstance de cette scène : les fenêtres de la chambre où elle se passait faisaient face à la porte du cabinet dans lequel j’étais enfermé. Sophie venait d’être placée à genoux sur le plancher, les bras croisés sur le tapis et la tête appuyée sur ses bras. Sa chemise, soigneusement relevée jusqu’à la ceinture, me laissait voir à demi profil des fesses et une chute de reins admirables.Il est embarrassé sur le choix des deux embouchures que Sophie lui présente. La prudence l’emporte sur le goûtCette luxurieuse perspective fixait l’attention de Marc, qui s’était mis lui-même à genoux, les jambes de sa pénitente placées entre les siennes, ses culottes basses, sa terrible tige à la main. Il paraissait indécis sur la nature du sacrifice qu’il allait offrir. Deux embouchures se présentaient, il les ...